Dix-neuvième partie

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Il se mit à ma hauteur et m'obligeait à le regarder dans les yeux « Julie Margota... épouse moi, non ce n'est pas ça que je dois dire excuse moi, trop souvent je t'ai imposer des choses maintenant tu peux choisir, alors Julie Margota ... veux-tu m'épouser ? » je n'avais pas besoin de répondre car tout était déjà dis rien qu'en nous regardant, mais je lui ai quand même répondu un oui décisif. Plus rien ne pouvait nous séparer dorénavant, l'avenir nous appartenait enfin.

Par quoi commencer, il y a tellement de choses à raconter. Tout d'abord, il fallait annoncer à tout le monde que l'on se mettait officiellement ensemble, ce qui risquait de mettre un grand malaise dans la famille, mais plus encore  nous devions nous installer tous les quatre à Paris pour deux ans le temps de faire sa formation d'entraîneur. Cristiano souhaitait terminer sa carrière de footballeur définitivement, un peu comme pour classer une affaire ou tourner une page décisive. J'avais pris ma décision, c'était radical, peu importe où il irait je le suivrai. Il m'avait fait la promesse de ne plus jamais me faire du mal, il ne me forcerait plus à rien et ne m'enfermerait jamais nulle part ailleurs que dans ses bras pour m'embrasser.

Notre week-end à Paris était merveilleux, je redécouvrait la capitale française sous un nouvel angle. Je comprenais mieux pourquoi on l'appelait la ville Lumière, mais aussi la ville de l'amour. Nous nous sommes baladés sur les bords de la seine main dans la main, comme un couple normal. J'en avais tant rêvé, je le regardais découvrir comme moi les délices de Paris, il avait beau y vivre depuis un an, mon tendre ami ne s'y était jamais baladé de cette manière. Les ruelles pleines d'histoire et de culture, le jardin des champs Elysées et son théâtre de marionnettes datant de 1900 avec une petite musique dans les jardins en ce jour ensoleillé, je me souviens que c'était Si tu n'étais pas là, de Fréhel. Je ne me lassais pas des fontaines des jardins des champs Élysées.

De quoi nous faire voyager dans le temps au cœur de la grande ville d'amour

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De quoi nous faire voyager dans le temps au cœur de la grande ville d'amour. Nous sommes descendu jusqu'au grand palais pour le contourner. Ce samedi était magique, nous nous sommes baladés jusqu'aux pieds de la merveilleuse et somptueuse Dame de Fer, je me souviens m'être tournée vers lui en souriant pour lui dire "tiens enfin quelqu'un de plus grand que toi" nous avons ris ensembles de bon cœur, chose que nous n'avions pas fait depuis longtemps. "Elle ne me bat pas au football celle si heureusement, j'ai quelque chose qu'elle n'aura jamais", et j'ai ris encore plus en lui répondant "oui mais, elle reste parfaite quand même et majestueuse tu ne trouve pas ?" Cristiano a acquiescé en embrassant ma tempe et me serrant encore dans ses bras, alors que nous nous dirigions jusqu'à ses pieds pour la monter. Jamais je n'oublierais ces moments, c'était intense, tellement effrayant de se retrouver en haut de cette tour de 327 mètres de hauteur. Ça n'a pas l'air comme ça rien qu'en le disant, mais quand on y est notre cœur est prêt à exploser, déjà il faut s'habituer à être en hauteur, calmer son léger vertige, puis quand on est tout en haut nos jambes flagellent, car il y a une montée d'adrénaline qui s'intensifie au fur et à mesure que l'ascenseur grimpe jusqu'au sommet.

L'ombre de CR7 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant