Not easy to be your wife.

Trente.

Une semaine plus tard,

J'étais passer tôt ce matin récupérer un bouquet de Lilas, d'Edelweiss et de Gentianes, un bouquet qui d'ailleurs a mis du temps à être fais par les fleuristes mais le principal c'est qu'il sois là non ?
En parlant de bouquet j'ai passer la semaine là plus horrible de toute mon existence, entre angoisse et stress j'ai bien faillit perdre la tête, mais maintenant je peut enfin vous dire avec certitude que l'homme que je veut désormais c'est Mendes, cette semaine sans lui a été des plus fade.

Je me suis faites une raison, Kenneth n'est que le fruit d'un passé agité, mouvementé et sombre alors que Mendes est le fruit d'un futur et d'un présent harmonieux, doux et stable.
Kenneth ne reviendra plus, je le sais et j'en suis plus que convaincu, sinon il l'aurait déjà fais, nous ne sommes jamais rester aussi longtemps sans nouvelles l'un de l'autre, j'ai bien essayer de lui envoyer des messages mais monsieur et bien trop occupé pour y répondre, comme quoi sont enfant ne l'intéresse pas plus que sa.

Un enfant que j'ai hâte de voir arriver d'ailleurs, de tous se passer sombre le seul bénéfice qui en resort c'est bien elle.

CABINET DU DOCTEUR GYNÉCOLOGUE LUCAS MENDES,
1 rue des milles-feuillets,
PARIS VI, FRANCE – 12h20

Munit de mon bouquet et d'une jolie petite robe blanche j'ai pénétré dans sont bureau, monsieur y été, très bien accompagné d'ailleurs mais ce n'est qu'une patiente alors tous va bien.
J'aime beaucoup me rassurer hein, eh bien je le sais.

Mendes – En se levant, Qu'est-ce que tu fais là ? J'shui en pleine consultation tu peut pas débarquer de la sorte, sans toquer en plus !

– Je pensais que j'étais là bien venu ...

Mendes – Tu ne l'est plus depuis un bon moment et tu le sais très bien.

– Écoute, je n'ai pas envie de laisser cette phrase gâcher tout se que j'ai entrepris pour venir ici, on ne va pas se disputé parce que ce n'est pas un jour pour, on va juste discuter comme deux adultes et puis c'est tous.

Mendes – Je finis avec ma patiente et je suis à toi c'est bon ?

– Oui mais prend ce bouquet au moins, il est pour toi.

Quinze minutes plus tard,

Mendes – Je t'écoute.

– Je n'est plus besoin de parler pour sa finalement, approche.

Mendes – Mais qu'est-ce que tu me raconte ? Je pensais que t'était venu ici pour qu'on puisse discuter et maintenant tu me dis que tu n'a plus besoin de discuter faudrais savoir ce que tu veux.

– Je sais très bien ce que je veux alors Mendes s'il te plaît approche toi !

Il est resté stoïque face à ce qu'il venait d'entendre et ne le voyant pas bouger d'un centimètre de sont siège j'ai décidé de prendre le taureau par les cornes, je me suis levé, je les rejoins derrière sont bureau, il m'a installer sur lui et ont c'est embrasser.