Vingt-six.

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De retour à la maison,

Les mots du docteur me revenais sans cesse, se qu'il m'avais dis n'était sûrement pas tomber dans l'oreille d'un sourd, je compte bien garder tous sa dans un petit coin de ma tête mais je suis réaliste et je sais qu'entre moi et Kenneth sa peut repartir à tous moments.
Combien de fois on c'est disputé ?
Combien de fois on c'est fais la tête ?
Combien de fois on c'est séparé ?
Des millions de fois et pourtant nous deux c'est toujours reparti, de dire que nous ne nous aimons pas réellement c'est mentir, si on ne s'aimer pas on ne serais pas ensemble à l'heure actuelle.

Si lui il est autant obstiné à mettre fin à notre relation c'est parce que les gens le poussent à le faire, on lui a tellement rabâché le faites qu'il n'était pas fais pour moi qu'au final il c'est lui même mis à y croire.

J'aime cette homme et je l'aimerais jusqu'à se que j'en décide la fin.

Mais comme je vous l'ai dis plus haut, les mots du docteur me revenez et pas que les siens malheureusement.
Ce dès différentes personnes que j'ai pu côtoyer me revenais aussi et ce dès membre de ma famille plus particulièrement, il n'était pas pour ce mariage et je n'ai clairement pas envie de me dire qu'il avait raison et que tout bêtement il me l'avait dis bien avant que je ne m'installe avec mon mari.

C'est simple une première impression des personnes de ton entourage est souvent la bonne et j'en suis la preuve vivante.




















































Quelques heures plus tard,

J'étais dans la cuisine prête à cuisiner le plat du soir, quand Kenneth fis sont apparition, une quinzaine de sacs en main.

– C'est pour quoi tous sa ?

Kenneth – Je me suis dis qu'avant de partir il fallait que je te fasse un peu plaisir, j'ai pas étais le meilleur des mari pour toi et c'est nombreux cadeaux j'espère compenserons mon manque de générosité à ton égard.

– Mais il ne fallais pas, j'ai déjà tous se qu'il me faut ...

Kenneth – Écoute princesse, sa me fais plaisir alors accepte les.

– Je comptais pas les refuser !

Kenneth – En riant, J'te préfère comme sa !

– Donc tu retourne réellement en Carcassonne ? Dis-je en récupérant les sacs.

Kenneth – Oui sa vaut mieux mais je reviendrai pour l'accouchement.

– Je vais pas y arriver sans toi.

Kenneth – Bien sur que si tu y arrivera et puis même si notre histoire est entrain de ce terminer à l'instant même, je serais toujours présent pour toi et le bébé quoi qu'il arrive, même absent tu sentira ma présence.

– Mais pourquoi est-ce qu'elle devrait se terminer ? On s'aime Kenneth, on peut très bien suivre une thérapie de couple ou j'en sais rien mais on peut sauver notre mariage !

Kenneth – L'amour ne suffit pas alors arrête toi, nous deux c'est terminé depuis bien longtemps, il faut que t'arrête de te voiler la face, il faut que t'arrête de penser qu'il y a un futur pour nous parce qu'il n'y en a pas !
Écoute, j'ai pas envie d'être dur dans mes mots mais il faut que tu comprenne, je t'aime princesse et je t'aimerais toujours, t'est la mère de mon première enfant et sa personne ne pourra te le prendre. T'est une femme magnifique, humble et intelligente qui a toujours su me donner tous l'amour et tous l'affection dont j'avais besoin. Tu a été patiente et tu m'a pardonner de nombreuses fois et sa je ne t'en remercierai jamais assez. Nous deux sa a été intense et vraiment passionnel mais sache que tu a étais la meilleure partie de ma vie, la meilleure Aycha.
Il y a de nombreuses choses que je n'arrive même pas à te dire tellement tu me fascines et puis t'est tellement imprévisible, si je venais à te déclarer ma flamme là tout de suite tu me frapperais.

– T'est con.

Kenneth – En riant, C'est toi qui m'a rendu comme sa.

– Kenneth tu sais très bien que j'espère toujours au fond de moi que tu reviendra quand même au côté de celle qui t'a toujours aimé, soutenue, aider et pardonner.

Kenneth – S'il te plaît bébé n'espère pas parce que sa n'arrivera pas.

– Désolé mais je le ferais.

Kenneth – T'est vraiment coriace comme meuf toi !

– Viens.







































J'ai déposé tous se que j'avais en main, j'ai pris sa main et je l'es emmener dans notre chambre, j'ai commencé par retirer tous ce que je portais avant de retirer les siens.

Kenneth – Qu'est-ce que tu fais ?

– Tais-toi s'il te plaît.

















































J'ai laissé mes mains glisser tous le long de sont corps avant d'y déposer de nombreux baisers, il a aussitôt était réceptif et m'a porter afin de me déposer sur le lit.
On c'est embrassé comme au premier jour, un échange intense, passionnel et rempli d'amour.
Chaque minute passé auprès de lui était magique, je me sentais à nouveau comme étant sa femme.

Nos sous-vêtements n'ont pas fais l'en feu très longtemps et à cette instant précis il n'y avait que lui et moi, personne a l'horizon et comme vous devez vous en doutez nous étions entrain de passé notre dernière soirée ensemble.




























J'ai comme qui dirais un peu peur du tournants que cela va prendre, si nous ne sommes tous les deux plus fais l'un pour l'autre, qui est fais pour moi ?

Et puis non, je n'ai même pas réellement envie d'y penser, Kenneth à était le seule homme de ma vie et malheureusement cela restera ainsi, je n'ai pas envie de m'offrir à quelqu'un d'autre, je n'ai pas envie de développer de nouveaux sentiments, de construire une nouvelles familles ou de reconstruire un foyer stable, tous ceci ce n'est plus dans mes cordes, mon première amour m'a fatiguée, épuisée, vidée de tout, de vraiment tout.

Kenneth – A quoi est-ce que tu pense ?

– en déposant confortablement ma tête sur son torse, Ah mais à rien pourquoi ?

Kenneth – Tu me paraît très pensif.

– Eh bien je ne le suis pas.

Kenneth – Ok. Bon je vais commencer à préparer mes affaires.

– Maintenant la ?

Kenneth – Ouais il le faut bien, j'ai pas envie de le faire demain à la dernière minute.

Il a remis sont caleçon, c'est levé et j'ai décidé de me levé aussi, j'ai passer un draps autour de moi afin de l'aider à ranger toutes ses affaires et quand nous avons terminé nous nous sommes regardées, rapprochées, embrasser puis nous nous sommes tous deux redirigé vers le lit.

Not easy to be your wife.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant