Not easy to be your wife.

Treize.

Une trentaine de minutes plus tard ...

Assise confortablement dans un siège noir,  j'attends mes résultats d'analyse avec impatience, j'espère juste que je n'ai rien de grave, je n'ai du tout pas envie de devoir prendre des traitements ou autre a long terme, l'antadys me suffit déjà assez amplement.

J'étais prête a envoyer quelques messages quand ma gynécologue est entrée dans son bureau le sourire béant jusqu'au oreilles.

Elle – Eh bien mes félicitations madame, vous êtes enceinte d'un bon mois.

– Vous plaisantez j'espère ? C'est impossible que je soit enceinte, je n'ai même pas ...

Elle – Les analyse sanguine et urinaire ne mentent pas et puis qu'est-ce qui vous dérange concrètement ? Vous êtes marié non ?

– Oui mais je ne peut pas être enceinte, je ne peut pas, du moins pas maintenant !

Elle – Aycha on ne se connaît pas personnellement mais j'aimerais réellement être concernée par cette situation, j'aimerais vous aider, vous empêcher de faire quelque chose que vous allez finalement regretter plus tard, mais pour sa il faut que vous répondiez a certaines de mes questions vous êtes d'accord ?

J'ai hoché la tête d'haut en bas puis elle a sortie quelques feuilles avant de commencer sont interrogatoire.

Elle – Comment se passe votre vie de couple ? Veuillez détaillez s'il vous plaît.

– Je mène une vie de couple plutôt banale, elle n'est pas parfaite mais elle n'est pas non plus catastrophique, elle pourrait certe être mieux mais pour l'instant elle est ainsi et je ne m'en plaint pas.

Elle – D'accord je vois mais si elle est si banale comme vous le dites pourquoi rejeté une tel grossesse ? Une grossesse sa ressert les liens dans un couple sa ne les brisent pas mais je ne
vous apprend rien n'est-ce pas ?

J'avais carrément l'impression d'entendre ma belle-mère, c'est hallucinant.

– Oui je le sais mais la pour l'instant je ne veut pas de cette grossesse et j'aimerais qu'en t'en que femme vous acceptiez ma décision.

Elle – J'aimerais vraiment moi aussi mais je ne peut pas, je suis plus que certaine que cette décision et prise sur un coup de tête et n'est pas du tout réfléchi, combien de femme déterminée à interrompre leurs grossesses on finalement regretter leurs choix ? Et bien plus d'un milliers Aycha, je suis peut-être une gynécologue mais je suis avant tout une femme, avorté c'est mal, c'est ôté la vie d'un petit être qui n'a rien demandé et c'est surtout interdit dans certaines religions et dans la votre aussi. Quelques sois le ou les problèmes conjugaux ou personnelle que vous rencontré Aycha ne faite pas un choix aussi radical, le petit être que vous porter en vous ne demande qu'une chose c'est que vous le laissiez vivre, n'interromper pas votre grossesse, affronter vos problèmes.

Cette décision je sais pertinemment que si je l'exécute je m'en voudrais toute ma vie mais je n'est tellement pas envie que mon enfant grandisse dans une tel ambiance, je n'est tellement pas envie qu'il assiste a une des différentes folies de son père mais tellement pas.

– J'y réfléchirai.

Elle ma tendu un morceau de papier et c'est levé afin de pouvoir aller m'ouvrir la porte, je suis sortie par la suite rejoindre Keith dans la voiture.

Keith – Tout va bien ? Les résultats on donner quoi ?

– Rien de concret maintenant démarre s'il te plaît, tu me déposera près du parc jaune, j'ai clairement pas envie de rentrer maintenant.

Il acquiesça puis démarra la voiture, tout ce petit trajet retour c'est fais dans le plus grands des silences.

[ .... ] - 20h37,

Cela fesait des heures que j'étais assise sur ce petit banc, je réfléchissais encore et encore sur ma situation actuelle, en parler a Kenneth se serait du suicide, quoi que peut-être que l'annonce de cette grossesse l'adoucira un peu, peut-être qu'au final il changera, peut-être que ....

Je rêve un peu trop moi nan ?

J'ai sorti mon téléphone histoire de voir qu'elle heure il était.
20h40 ? Déjà.

J'ai pris mon sac et j'ai filé a toute allure vers la sortie du parc.
J'ai cavalé comme jamais je ne l'avais fais auparavant et en moins de cinq minutes j'étais arrivé dans mon immeuble.
En ouvrant la porte de l'appartement j'ai constaté que toutes les lumières étaient éteintes sauf celles de ma chambre, j'y suis allé et y découvrit Kenneth confortablement allongé sur notre lit, vêtu d'un simple short blanc.

– Mais qu'est-ce que tu ...

Kenneth – T'étais ou  ?