Partie 25

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𝑴𝒂 𝒈𝒍𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒂̀ 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒑𝒓𝒊𝒙...

𝗣𝗮𝗿𝘁𝗶𝗲 25

Je tremblais et j'ai commencé à me sentir fiévreuse, mon corps était devenu comme quelqu'un qui avait un début de palu.
C'est le son de mon téléphone qui m'avait échappé des mains qui les a fait sursauter.
Ils étaient effectivement trois dans la chambre mais pas deux filles et un homme, il y'avait là en face de moi, trois hommes dans la chambre.
Je me suis accroupie pour être sûre de bien voir Babakar dans cette position. Il ne me trompait pas non non. Il faisait bien pire en étant la femme de service de ces hommes !

Babakar se faisait prendre, il y prenait du plaisir. J'ai vomis tout ce que j'avais mangé. Le plus jeunes des trois s'est enfui dans la pièce d'à côté sûrement la salle de bain.

Ils étaient trois, trois hommes, nus en faisant la pire des choses que j'ai pu voir de toute ma vie. Ils avaient une position que je ne saurais expliquer et que même moi qui suis la femme ne pourrait reprendre. Je tremblais de plus belle.

- Rania ? Qu'est-ce que...? Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Babakar ? Tu es ? Tu es...?
- Je vais t'expliquer, ce n'est pas ce que tu crois...
- Ne t'approches pas de mois criai-je en faisant un pas en arrière.
- Je te jure que je ne sais pas aussi ce qui m'a pris !
- Non ! Je ne peux pas le croire.
- Qui est-ce ? Demande celui qui est resté de ses amants, ou je ne sais même pas comment les qualifier.
- Je suis ta mère ! Non je ne peux pas être ta mère, je ne peux pas mettre au monde des choses comme vous.

L'imbécile s'approcha de moi, en tenue d'Adam, j'ai écarquillé les yeux. Je voulais prendre quelque chose pour m'assurer la défense. Il s'arrêta net et fit un geste tellement efféminé que j'eus envie de vomir à nouveau.

- Ah c'est donc toi la fameuse femme qui partage notre homme ? Demanda-t-il avec une voix si féminine et le geste qui va avec.

Je n'ai rien pu dire, je le regardais la bouche ouverte, dépassée par ce que je venais de vivre, ça n'est pas un film mais ma réalité !

                                       ***
                                         *

J'étais entrain de prendre mon pieds sans me soucier de quoi que ce soit quand Rania fit irruption dans la chambre :

- Rania ? Qu'est-ce que...? Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Babakar ? Tu es ? Tu es...?

Elle tremblait comme une feuille, j'ai poussé Jules pour attraper un drap afin de cacher mes parties intimes comme si ce n'est pas avec elle que je vis :

- Je vais t'expliquer, ce n'est pas ce que tu crois...
- Ne t'approches pas de moi cria-t-elle faisant un pas en arrière.
- Je te jure que je ne sais pas aussi ce qui m'a pris !
- Non ! Je ne peux pas le croire.
- Qui est-ce ? Demanda Jules.
- Je suis ta mère ! Non je ne peux pas être ta mère, je ne peux pas mettre au monde des choses comme vous.

Il s'est approché de nous deux pour lui parler, j'avais très honte seigneur. Ça ne lui disait rien et il était plus qu'à l'aise.

- Ah c'est donc toi la fameuse femme qui partage notre homme ? Demanda-t-il avec une voix si féminine.
- Notre quoi ? Babakar ? Tu as osé me faire ça ? Tu me trompes et avec des hommes ?!
- Rania je vais t'expliquer...
- Tu utilises la même ver*ge que je me prends chaque nuit dans le c*l de ce mec ? Tu es si répugnant, j'ai envie de te tu.er mon Dieu, sérieux tu as osé me faire ça ?
- Ne le tu.es pas, si tu ne prends pas je prends moi ou bien bébé ?
- Jules ? Criai-je, arrêtes maintenant !
- Bébé, elle me menace dans ma propre maison et tu me dis moi de me taire ? Je vais appeler la police d'ailleurs, je ne sais pas ce qu'elle fait mais ici c'est ma propriété !
- Ta propre quoi ? Tu lui as même payer une maison ? C'est le comble seigneur ! C'est vraiment la fin du monde.
- Oui et puis quoi après ? Il dort chez toi le soir, il passe la journée le matin ici chacun à son compte, toi et moi. Et si tu le satisfaisais, il n'allait jamais se pointer chez moi jusqu'à faire de moi sa pu*te.
- Je vais vous tu.er mon Dieu ! Je vais commettre un meur.tre tout de suite.

Ma gloire à tout prix...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant