Partie 27

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𝑴𝒂 𝒈𝒍𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒂̀ 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒑𝒓𝒊𝒙...

𝗣𝗮𝗿𝘁𝗶𝗲 27

Le bien ou le mal que tu fais te rattrapera, c'est une évidence !

                                       ***
                                         *

Jules

J'ai appelé Babakar toute la soirée en vain.
Je voulais de l'argent parce que je devais aller en boîte de nuit avec des amis. Je les ai invité et il est hors de question qu'ils dépensent un seul franc. Depuis le scandal avec sa femme, je n'ai plus de ses nouvelles. Je me suis rappelé qu'il dépose de l'argent ici, c'est notre secret à nous, on espère un jour partir de cette ville !
J'ai finalement pris de dans, il faut que mes amis s'éclatent après tout.
Je n'aime pas sortir sans son accord.
Quand je l'ai connu, je pensais que c'était ce qu'on raconte partout que des hommes font des choses avec leurs semblables pour juste être riche mais ce n'est pas son cas à lui. Babakar m'aime et est même amoureux de moi.
En quelques mois de relation, il m'a offert ce que même mes parents ne m'ont pas fait, la stabilité financière.
J'ai voyagé dans beaucoup de ville avec lui et j'ai même eu un passport. Chez moi, le seul truc qui les fait me chercher c'est quand j'ai un retard de virement que je leur fais chaque 1er des mois.

En revenant de la soirée, j'ai rencontré un jeune homme qui m'a plu et nous sommes rentrés ensemble nous avons fait ce que vous pensez puis il est parti vers 6h du matin.
Je m'étais à peine mis au lit, qu'il était revenu sonner. Sûrement qu'il a oublié quelque chose. Je n'ai pas d'agents de sécurité moins de majordome, il nous fallait la discrétion absolue, je suis donc sorti pour voir :

- Qu'est-ce que...?! Euh qui êtes vous ? Demandai-je quand j'ai remarqué que ce n'est pas lui.

La personne devant la porte ne m'a pas répondu, elle m'a juste poussé à l'intérieur et j'ai manqué de tomber. Ma respiration s'est mise à s'accentuer, j'avais peur. Je ne pouvais pas crier, nous n'avons pas de voisins. Tout appartient à Babakar et est vide !

- Qu'est-ce que vous voulez ? Si c'est de l'argent venez je vous donne mais s'il vous plaît laisser moi sain et sauf.
- Nous ne voulons pas de ton foutu argent, nous sommes venus pour t'ôter la vie. J'espère que tu es prêt à rejoindre l'au-delà !

J'ai commencé à trembler parce qu'ils étaient très sérieux. Ils sont au nombre de neuf.
Les autres ont commencé à se déshabiller et j'ai compris qu'ils allaient me faire souf.frir.

- S'il vous plaît ? J'ai de l'argent, je peux vous donner tout ce que vous voulez mais ne me touchez pas. Ne me faites pas de mal !

Ils se sont mis à rire, j'ai voulu courir mais ils étaient plus fort que moi. Ils m'ont tiré et jusque dans ma chambre. Ils ont commencé leur sale besogne sur moi sans pitié. Trois heures de temps de supplices. Eux tous étaient passé sauf celui qui m'a mis en premier une cla.que peut-être leur chef.
Je n'avais plus de force pour me débattre.
Ils ont continué sans relâche et aucun répit pour moi. Je ne me rappelle même pas de combien de fois je m'étais évanoui. Je n'avais plus de force pour pleurer, je sentais la vie quitter mon corps.

- Lèves-toi !
- S'il...s'il vous plaît. J'ai compris la leçon !
- Donc tu ne nous crois pas quand on t'a dit que nous allons te tu.er ?
- Je suis déjà mort commençai à dire. Qu'est-ce que je vous ai fait ?
- Pas à nous mais à Rania, tu la connais sûrement ?

j'ai pleuré en pensant à mes parents à mon avenir. J'avais une idée de qui les a envoyé vers moi. J'ai commencé à revoir ma vie comme dans un rêve : Si j'étais resté à l'école, je n'aurai pas subi tout cela Dieu !
Le plus baraqué a sorti un long et fin couteau et j'ai pensé qu'il allait me poi.gnardé mais non il a fait pire, il m'a arra.ché d'un cou.p sec mon entrejambe. J'ai senti une douleur que je n'ai jamais ressenti depuis que je suis au monde. Un mal aigu. J'entendais leur voix puis petit à petit ça devenait éloigné, je n'ai plus bougé. Une larme perla le long de ma joue puis trou noir.

Ma gloire à tout prix...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant