Un milliardaire solitaire (Terminé)

Chapitre 22

Sharon et Dylan étaient assis au salon privé, l'un dans les bras de l'autre. ils se chuchotaient des mots d'amour. Dylan ne s'empêchait de lui caresser le ventre. son bonheur était à son comble. Il savait que les jours meilleurs étaient désormais devant lui.

Il lui donna un baiser à la tempe avant de se rendre compte qu'elle somnolait. Il l'attrapa par le menton et leva son visage vers lui en souriant.

- Tu dors mon amour?

- Juste un peu fatiguée. Mais je n'ai pas intérêt de dormir car je veux encore rester avec toi.

- Allez! Laisse-moi t'emmener au lit. Tu dois te réposer pour le bonheur de notre bébé - il posa les lèvres sur son ventre en fermant les yeux, pour ton bonheur - il posa ses lèvres sur les siennes, et pour mon bonheur, termina-t-il en se rélevant.

Au même moment, le téléphone se mit à sonner. C'était Marc.

- Oui Marc! Je t'écoute.

- Lord, vous avez une visite qui je sais ne vous plaira pas mais j'ai préféré vous avertir.

- Qui est-ce?

- Hester Clift!

- Dîte-lui que je ne veux pas le recevoir... ou bien, fouillez la et conduisez la à la salle d'accueil.

Dylan prit Sharon dans ses bras pour la salle où l'attendait déjà Hester.

- Bonsoir Dylan...

- C'est Lord pour toi! coupa-t-il hargneusement. Qu'est-ce que tu veux?

- Puis-je te parler?

- De quoi?

- Ca ne concerne que toi et moi.

- Tu as vu qui d'autre ici?

- Ta copine...

- Tu veux dire fiancée? Elle c'est moi. Vas-y parle. Je n'ai pas assez de temps à t'accorder.

- S'il vous plaît Mademoiselle Montgomery, pouvez-vous nous laisser mon frère et moi?

- Petite correction! Cousin et non frère. Sharon tu restes là. Tu es chez toi, tu fais ce que tu veux.

- Dylan, je préfère vous laisser seuls. Je suis dans la chambre.

Elle lui donna un léger baiser et sortit.

Dès qu'elle tourna le dos, Dylan demanda avec la plus grande brutalité possible et en lui tenant le bras durement

- Qui t'envoie?

- Personne Dylan... S'il te plaît tu me fais mal.

- Qu'est-ce que tu veux? continua-t-il en ignorant ses plaintes.

- Que t'ai-je fait Dylan?

- De quoi parles-tu? Demanda-t-il incrédule

- Pourquoi est-ce que tu me détestes?

- De toi à moi, qui déteste l'autre? Qui a lancé les hostilités?

- Moi, je ne te déteste pas. Tu es mon frère et je t'aime. Tu es mon grand frère.

- Cousin!

- Ecoute Dylan! je n'ai jamais pris en considération ce mensonge de papa. Oui Dylan, je préfère considérer celà comme un mensonge parce que voies-tu, je ne t'ai jamais vu en cousin mais en frère.

- Tu as fini? Laisse-moi seul maintenant. Marc?

- Oui Lord!

- Raccompagnez-la à la sortie.