Les Milliardaires

🖤 15

Quand mes yeux se décidaient à ce ré ouvrir, les bips bips de mon coeur que la machine reproduisait me laissait deviner que j'étais dans un lit d'hôpital. Je regardait autour de moi la vue encore trouble et vit Tyler allongé sur un canapé entrain de dormir ma main dans la sienne. Je bougeais mes doigts instinctivement mais le réveilla.
- mon Dieu Naoh tu es réveillé enfin. Ça va ? Tu n'as pas trop mal ?
- oui ça va bredouillais-je.
- j'ai eu tellement peur.
Il était tout pâle. On aurait dit qu'il n'avait pas mangé depuis des jours. Et ses vêtements sentaient la transpiration.
- Tyler ça fait combien de temps que je suis ici ? Et nos parents sont là ?
- Nos parents devaient retourner travailler ils avaient tous de très importantes réunions.
- bien sur je devrais m'en douter.
- Mais Noah ils sont très inquiet quand même.
- oui oui je sais pas besoin de les défendre t'inquite je les connaît maintenant. Le travail passe avant tout fis-je avant d'avoir une grosse douleure dans le ventre.
- Noah ça va ? Qu'elle idiot je vais appeller une infirmière.
Il se leva et appuya sur un bouton rouge qui en fit venir une aussitôt comme par magie.
- bonjour Noah. Comment allez-vous ?
- ça fait combien de temps que je suis ici demandais-je.
- vous êtes ici depuis deux jours me répondit-elle.
- oh mon dieu
- ne t'inquiète pas fit Tyler et me prenant la main.
À ce contact je me sentit aussitôt soulagé. C'est alors que la porte s'ouvrit sur Manon, elle avait tout aussi l'air fatigué.
- oh ma belle tu es réveillé je suis tellement contente disait-elle en courant vers moi pour me faire un câlin.
- tu es là demandais-je.
- bien sur que je suis là. Tyler ne t'a spas quitté d'une semelle et moi je viens juste de revenir avec des affaires propres pour toi.
Elle me montra un sac.
- mademoiselle, je suis désolé d'interrompre vos retrouvailles mais il va falloir que nous vous faisions quelques testes. Elle demanda à Tyler et Manon d'un signe de la main de partir. Ce qu'ils fit. Manon me fit un bisous avant de partir et je ne m'y attendait pas mais Tyler fit la même chose. Je reçu aussitôt une décharge électrique à son contact.
- j'ai eu tellement peur me chuchotait-il.
Quand la porte fut refermé l'infirmière commença par me poser tout un tas de questions aux qu'elle je n'avais aucune envie de répondre.
- Noah, un médecin voulais vous parler à propos d'autre choses.
C'est à ce moment qu'une femme, à peut près la quarantaine vint s'asseoir à côté de moi. Puis elle demandait à l' infirmière de nous laisser.
- mademoiselle, je me présente je suis docteur Lina Delommont. Vous pouvez m'appeler Docteur Lina. Je voulais vous parler de quelques chose....
Elle marqua une pose. J'eus aussitôt peur.
- puis-je vous poser une question ?
- oui fis-je
- vous droguez-vous ?
- non pourquoi ? Demandais-je inquiète la bouche sèche.
- je vois que vous avez l'air de dire la vérité mais quand j'ai regardé vos analyses j'ai vus certaines tâches de drogues.
- mais... C'est impossible fis-je troublé.
- non la preuve.
Elle me sortit une radio et me montrait. Vous voyez ici ? Demandait-elle en plaçant son doit sur la radio.
- oui qu'es que c'est demandais-je en voyant qu'elle montrait des tâches.
- et bien les taches blanches comme vous le voyez sont des tâches de drogue comme je vous l'ai dit. Et il s'agit en réalité de canabis pris en petite quantité mais depuis des mois.
Ma gorge se noua et je commençais à sentir les larmes me couler sur le vidage.
- ne vous inquiétez pas me fit-elle.
- mais qui aurait bien put me faire c' la ?
- votre famille à beaucoup d'énemies c'est possible que cela arrive. Bref revenons en.
- ce n'est pas finis ?
- à force de prendre cette drogue celà aurait touché un de votre rein.
- oh mon dieu fis-je en mettant ma main devant ma bouche. Et c'est grave ?
- et bien sûr une échelle de 1 â 10 je dirais 6. Mais ne vous inquiétez pas nous l'avons repéré et c'est une bonne chose.
- qu'es-ce qui va se passer ?
- et bien nous allons vous donner des médicaments très importants à ne surtout pas oublié, n'y prendre à la légère. Et vous n'allez pas pouvoir faire de sport.
- vous voulez dire... Que je ne peut pas courir ?
- non c'est impossible cela ne ferrais qu'empirer votre état.
Les larmes commençait à rouler de plus en plus grosses sur mes joues.
- je suis navré. Mais ne vous inquiété pas vous allez pourvoi le reprendre quand tout cela sera finis.
- quand ?
Elle ne répondit pas.
- pendant combien de temps je ne vais pas pouvoir faire de sport demandais-je ? Plus fort et plus gravement.
- un an. J'en suis navré.
- je me laissais tombé sur le dossier de mon lit.
- ne vous en faite pas vous aurez vos proches.
- c'est ça oui et les paparazzi aussi.
- étant donné que vous avez 19 ans vous avez le droit de garder secret se problème.
- vous l'avez dit à qui ? Demandais-je.
- personne, c'est à vous de décider à qui vous voulez le dire car vous avez plus de 18 ans. Mais je vous conceille d'en parler.
- d'accord. Fis-je en fermant les yeux et en espérant que ce n'est qu'un cauchemar.
- tenez.
J' ou ris les yeux et la vit me tendant un petit sac avec les médicaments.
- toutes les informations sont sur un papier que je vous ait donnée. Vous avez mon numéro de téléphone aussi. Je vais être votre médecin traitant à partir de maintenant. Vous pouvez m'appeler quand vous voulez je serrais toujours là pour vous aider ou répondre à questions.
- d'accord merci. Fis-je.
- vous pouvez rentrer chez vous. Et au faite ?
- oui...
- je vais partir avec vous en avion.
- mais pourquoi ?
- car je suis obligé, et vous, vous êtes obligé d'y aller.
- comment le savez-vous ?
- ça passe sur toutes les télés. Et dite moi, avez-vous décidé à qui vous allez le dire ?
- aux deux personnes qui sont dehors lui répondis-je. Et personne d'autre. J'espère que vous ne le dirais pas.
- je vous le promet. Et dites moi quand vous arriverez que je vous rejoigne là-bas.
- d'accord.
- alors à bientôt.
- oui c'est cela.
Et elle referma la porte.
Je mis mes affaires et quand je sortis de ma chambres Tyler et Manon étaient là très inquiet.
- alors tout va bien ?
- pas trop trop fis-je. Merci d'être là. Et merci Tyler de m'avoir sauver.
Ils me firent un câlin mais s'éloignèrent quand je poussai un aïe.
- écoutez il faut que je vous parle mais venez on va aller dans un endroit plus calme.
C'est quand nous fûmes dehors sur un banc à côté d'un parc que je me décidais à leur expliqué.
Quand j'eus finis mon monologue ils étaient tous les deux blancs comme neige. Il me serrèrent tous les deux dans leurs bras. C'était ce que j'avais besoin.
- On sait que tu adore plus que tout au monde courir mais ne t'inquiète pas on va faire plein d'autres choses cool disait Tyler en me serrant dans ses bras quand je me remis à pleurer.
- on ne va pas partir continua-t-il. On va inventer un truc bidon que les parents vont gober.
- non fis-je. Je veux m'éloigner de tous ces gens, des parents, des paparazzis, de la foule.... De tout...
- c'est comme tu veux. Ne t'inquiète pas on va garder le secret.
- je viens avec vous ! Fit Manon. Je ne vais pas laisser ma meilleure amis comme ça.
À cette idée j'eus un petit sourire que se formait sur les lèvres.
- c'est une excellente idée continua Tyler. En me prenant la main.
- et Hugo fis-je à Manon ?
- Hugo je ne l'aime plus, il n'était pas le bon.aid t'inquiète on s'en fou de ça disait-elle.
À chaque fois elle me sortait ça. J'en explosait de rire et m'en fit mal mais ils rigolèrent avec moi à ne plus s'arrêter.
Que c'était bon d'avoir des amis comme ça bon sang. ( enfin je ne crois pas que Tyler soit mon ami mais plutôt autre chose ).