Ein Fussballliebesgeschichte - Zweite Teil

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« Merde, merde, merde, MERDE ! » s'exclama Mario, en jetant son téléphone sur le canapé.

Il venait de lire le seul message qu'il ne voulait pas, ne voulait pas, recevoir. Il était dans son salon, et Leon était entrain de prendre une douche. Il regarda les photos attachées, et vit avec horreur que ce n'était pas les innocentes, mais celles qui ne devaient plus exister. Il ne prit la peine de lire l'article du magazine qui avait publié cela sur lui, ni les messages furieux de sa mère, son père, son entraîneur et quelques un de ses co-équipiers. Même son président avait laissé un message vocal l'ordonnant de se rendre le plus vite possible à la Mörfelder Landstraße.

Il fallait qu'il réfléchisse, établisse un plan d'action, et vite. Sortant de la pièce qui semblait vouloir l'étouffer, il prit son mobile et appela Peter Gehrling, son agent, le même depuis ses débuts.

« Hallo, Mario ? » lui demanda une voix après une demi-seconde.

« Oui, c'est moi. Je viens de voir ton SMS, c'est grave comment ? »

« La presse people s'enflamme, tu as fait la une d'un magazine à large audience, et beaucoup d'autres relaient l'informations sur leurs sites web. J'ai déposée une plainte à ton nom pour atteinte à la vie privée, mais c'est déjà de l'ordre nationale, et dans quelques heures, de l'ordre internationale. La source n'a pas été identifié, bien que j'ai ma petite idée, mais elle a confirmée qu'elle jouait avec toi chez les YB, contract et licence à l'appui. J'ai prévenu tes parents pour la procédure de base : pas de communications à la presse et profil bas en public. Fischer veut des réponse, et vite, Hütter aussi. »

Le footballeur souffla, tout lui retombait dessus au moment où il s'y attendait le moins.

« Ok, » finit par répondre le suisse, « on fait quoi maintenant ? »

« On a une option. On dénie tout, et on cherche à discréditer ton ancien coéquipier. On va faire le maximum pour faire disparaître les photos, mais je garantis rien. »

« Et on peut rien faire d'autre ? »

« Pour l'instant, non. Il faudra voir avec les dirigeants, mais je suis sûr que ce sera ainsi. »

« Tu viens me chercher ? J'ai sûrement des paparazzis à ma porte. »

« J'arrive dans quelques minutes, met une tenue propre. »

Mario ne ferma pas la communication immédiatement, car il ne savait q'il devait dre que Leon se trouvait chez lui. Il se rappela la dernière fois qu'il n'avait pas dit quelque chose à son agent, et s'écria :

« Attends ! J'ai oublié de te dire quelques chose. Leon est chez moi. »

« Pardon ? Bon, je ne veux rien savoir. Il ne doit pas être vu chez toi, qu'il reste dans ton appartement pour aujourd'hui, et on verra par la suite. »

Au même moment, il vit Saldo sortir de la douche. Il salua Peter, et se dépêcha de rejoindre son amant. 

« Tu dois rester ici aujourd'hui. »

« C'était qu'un coup d'un soir, tu ne peux me retenir Mario. »

« Il y a eu des complications, des photos ont fuitées. »

« Et alors ? Ce n'est plus de mon ressort. »

« Il risque d'y avoir des paparazzis, et je peux pas prendre de risques. »

Le joueur amateur soupira, il ne savait même plus pourquoi il avait accepté de suivre Lüthi en première place, et il regrettait ses décisions maintenant. 

« Toujours le même problème, Mario, c'est toujours le même problème. On ne peut être vu ensemble, pour ta carrière, ect... Tu pourrais pas assumer pour une fois ? »

OS Footballeur•euse•s [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant