E adevarat
că înțelegi ce ai avut
atunci când pierzi.
E adevarat
că poți să crezi numai atunci
când poți să vezi.
E adevarat
că de la dragoste la ură
e decât un pas.
E adevarat
pentru că știu că nu e doar un pas
mi-a mai rămas...
(C'est vrai
que tu comprends ce que tu as eu
seulement lorsque tu le perds.
C'est vrai
que tu peux croire en quelque chose
seulement lorsque tu peux le voir.
C'est vrai
que de l'amour à la haine
il n'y a qu'un pas.
C'est vrai
parce que je sais qu'il ne me reste
même plus un pas...)Sergio était effondré, par terre sur ses genoux, les larmes coulants sur ses joues rouges. Il venait de recevoir une lettre, une lettre de divorce. Lui et Cris', maris depuis tant d'années, tous ses instants de bonheur avec Junior et son frère, les moments d'amour que lui et le Portugais avaient partagés. Maintenant qu'il allait tout perdre, il se rendait compte que ces moments étaient plus importants que les disputes et crises de jalousies, maintenant qu'il n'allait plus rien avoir.
Il culpabilisait, beaucoup, même si ses amis lui disaient que ce n'était pas de sa faute. Il ne les avait pas crus lorsqu'ils lui ont dit que son mari le trompait. Après tout, il était, et est toujours, fou amoureux de l'attaquant, lui pardonnant tout, et se faisant aussi pardonner ses jalousies.
Seulement, un jour il voulut vraiment savoir. Sergio fit semblant de partir chez sa mère pour quelques jours, et il resta devant sa maison, attendant quelque chose. Le soir, il vit qu'une femme au corps de mannequin passé sous chirurgie plastique entra dans sa demeure. Le défenseur attendit une heure, avant d'entrer lui aussi. Il entendit des gémissements venir de l'étage, et son cœur se brisa lorsqu'il vit que la femme couchait bel et bien avec Cristiano. Il n'avait attendu que l'un d'entre eux parlent qu'il avait déjà claqué plusieurs portes, et partit loin de Madrid.
Ramos sécha ses larmes, et il sentit la haine aux portes de son cœur. Il aimait toujours le Portugais, mais ce qu'il avait subi n'était pas une preuve d'amour. C'était de la trahison, pure et dure. Il se leva, prit son téléphone, et composa un numéro qu'il connaissait bien.
« Marcelo ? Je veux tuer ce fils de pute. »
Și dacă totuși ai să pleci
Îți doresc să ai dreptate.
Și să nu plângi când ai să vezi
Nu poți iubi pe jumătate.
(Et si malgré tout tu dois partir,
Je te souhaite d'avoir raison.
Et de ne pas pleurer quand tu verras
Que tu ne peux pas aimer à moitié.)Le lendemain, Sergio était dans le bureau de son avocat. Ils planifiaient comment ils allaient essayé de récupérer les propriétés communes sur Madrid. Ils espéraient que l'autre partie allait accepter, et c'est pour cela que l'avocat envoya la demande à son confrère d'Italie.
Le soir, le joueur de football trouva dans sa boîte au lettre une note, portant l'écriture de son ex.
« Mon amour,
S'il te plaît, ne faisons pas une erreur. Je n'aurais dû envoyer cette lettre. Ce qui est arrivée avec Georgina n'arrivera plus, je te le promet.
Je t'aime de tout mon cœur, reviens à moi ! »
Sergio vit rouge, et chiffonna la feuille, la transformant en une boule de papier compact. Il contacta son avocat, et il découvrit que ce n'était qu'une ruse pour le distraire du fait que son mari voulait garder les propriétés, toutes les propriétés
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OS Footballeur•euse•s [TERMINÉ]
Fiksi PenggemarLe football /futbol/ (dans la langue orale, par apocope, le foot), ou soccer /sɔkœʁ/ (en Amérique du Nord), est un sport collectif qui se joue principalement au pied avec un ballon sphérique. Il oppose deux équipes de onze joueurs dans un stade, que...