J'avais passé cette nuit à l'hôpital sayam était déjà partie pour Mali
Moi: il va mieu?
Docteur: Oui son état est stable pour le moment. Esque monsieur D*** à eu un moment d'angoisse ou de stresse.
Moi: Je ne sais pas.
Docteur: Une crise d'angoisse peut enlever la vie à quelqu'un je vous demande de le surveillé impeu plus sur ces derniers semaines monsieur D*** ne doit pas être perdue de vue.
Moi: D'accord.
Docteur: Vous pouvez aller le voir si vous voulez.
Je rentre dans la chambre et le regarde il était endormie tel un sage garçons qui ne avais l'air d'être calme et attentif.
: Arrête de me regarder comme ça.
Moi: Même en dormant tu peux parler à se que je vois.
: Ces assez facile pour moi de discerner que tes dans la même pièce que moi.
Moi: Et comment?
Il ouvre en fin ces yeux et me regard de ces yeux bleu intense avant de dire.
Nassim: À chaque fois que tu rentres dans la même pièce que moi j'ai cette sensation d'êtres toujour en sécurité et protéger au prêt de toi.
Je lève mon regard vers lui alors que lui me regardais il se met à se redressé et m'invite à le joindre sur le lit comme je le connais assez aujourd'hui je pars le joindre de peur qu'il efface une bêtise et m'assois à côté de lui j'en roule mes bras à sa taille et pose ma tête à sa poitrine.
En sentant une léger pression à mes cheveux j'en deduis quil avait déposer un doux baiser dessus.
Moi: Ne refait plus jamais ça nassim.
Nassim: Ne t'en Fais pas je serais toujour là.
Moi: Tu te sans mieux maintenant?
Nassim: Oui...Ouména s'il te plait je t'en supplie serre moi fort dans tes bras.
Je le serre contre moi en le caressant le dos pour le rassurais que tout aller bien après quelque minutes il se détache de moi et me tiens pars les joues avant de me regardé dans les yeux il en avait les larmes au yeux je ne comprenais son attitude.
Il caressant tendrement tout recèlent ma.joue droite quand j'allais lui demander se qu'il se passe il me devance et me demande.
Nassim: Je peux?
Moi:...
Son regard était posé à mes lèvres et suppliante à ses yeux me destablisisant en un point de me propager quelque frisson tout au long de ma colonne vertébrale. Il rapproché son visage du mien et dimue notre espace en me tenant par une main la taille et l'autre ma joue.
Avec hésitation et de lenteur il pose ses lèvres sur les miennes je ramène mes main sur sa poitrine toute en suivant la cadence de cette premier baiser depuis ma naissance tellement envoûtante et lente ce baiser était comme un adieux toute aussi doux et spéciale dans le goût des frissons qui me remonté mon plaisir toute fois je ne savais embrassé mais je me débrouiller pour que cette baiser reste à jamais graver dans mon coeur.
Après un moment de caresse il met un terme à notre baiser il en avait les larmes au yeux et m'observe avant de déposer un doux baiser sur mon frond.
Nassim: Ouména pardonne moi.
Moi: Pourquoi tu me demande pardon?
Nassim: je suis sincèrement désoler.