Nélina est une jeune femme de 20 ans. Après un mariage catastrophique, elle ne fais plus confiance au homme. Elle les haïs même, elle ce fera donc une insémination artificiel. Mais elle ne s'attendait pas que le donneur soit...
Commencer le 5 août...
Je souffle encore une fois d'exaspération et sors dehors, il fait froid, le vent glacial me glace l'échine...
Moi: Rayan arrête, sa sert à rien ce que tu fais !
Il arrête, ce retourne vers moi et ce rapproche. Je recule, je ne sais pas ce qu'il peut me faire dans cette état.
Lui: ah bon? Et qu'est ce que tu en sais?
Moi: t'accepte juste pas d'avoir tort, sa sert à rien de t'énerver sur le mur, énervé toi contre toi même ! Réfléchis !
Lui:tu me donnes des leçons de morale maintenant ? Énervé.
Moi: je t'es toujours fait des leçons de morale !
Il rentre dans la maison, je le suis en fermant la porte derrière moi.
Moi: t'es juste trop con sache que c'est elle qui ne m'a pas dit bonjour ! Elle voit que je suis enceinte et elle me pousse pour rentrer donc moi je l'ai tenue et je l'ai giflée tout simplement ! La preuve que tu n'as pas changé et que tu peux t'en vouloir qu'a toi même! Énervé.
Il ce retourne vers moi et me regarde toujours aussi énervé en ne disant rien. Le sang de sa main coule goute par goute au sol.
Moi:va t'asseoir ! En le regardant.
Lui: et puis quoi encore ? Dit il énervé.
Je prend sa main et appuie dessus, il émet un grognement de douleurs.
Moi: va t'asseoir ! Dis je sérieusement.
Il fait ce que je lui dit, je monte, prend la trousse de soin dans la salle de bain sans oublier de lavé le sang sur ma main. Je redescends et m'assois devant lui presque a bout de souffle de monter et descendre les escaliers.
Je le soigne en faisant exprès de lui faire mal, il sert son autre main pour diminuer la douleurs en émettant de léger grognement de douleurs.
Lui: je sais que tu fais exprès de me faire mal....
Moi: t'a tout compris !
Je fini de le soigner et me lève, il fait de même, il me dépasse de ses 1m92. Il faisait du basket étant plus jeune.
Lui:merci.
Moi: de rien.
Je pars mais il me retiens par le bras.
Lui: demain on sort. Dit il simplement.
Moi: où?
Lui: si je te le dit tu ne voudras pas.
Moi: ce qui me donne encore moins envie de venir.
Lui: de toute façon j'ai promis de t'amener là bas.
Il lâche mon bras, je monte dans la chambre et m'endors en me posant des questions.
PVD Rayan :
Retour 5 jours plus tôt.
Mélina est à hôpital, je passerai la voir après le travail.
Un de mes officiers m'appel et me dit.
Lui: monsieur un des prisonniers de la prison ***** ** *********** voudrais vous voir.
Moi: qui?
Lui: Melvine Silver.
Moi: pourquoi ?
Lui: il a une requête a vous demander.
Moi: d'accord je passerai.
Le père de Nélina, j'aimerais bien savoir ce qu'il veut...
Dans la prison.
Je m'assois sur la chaise et prend le téléphone, il fait de même.
Moi: bonjour monsieur Silver, on m'a dit que vous vouliez me demander quelques choses ?
Lui: bonjour oui... Ma femme est morte d'une tumeur au cerveau, ça vous le savez mais comme c'est avec mes coups qu'elle a eu cette tumeur, c'est considéré comme homicide volontaire de 2 personnes....donc je vais prendre la peine de mort et j'aimerais la voir avant... Au plus tôt, demain peut être ?
Moi: non, elle est hospitalisée et comment ça 2?
Ce n'est pas moi qui est traité son dossier.
Il baisse la tête et dit.
Lui:elle était enceinte de 6 mois d'un garçon, il ont pas réussi à le sauver, elle a fait un déni de grossesse...
Un gros blanc ce pause...
Lui: pourquoi elle est hospitalisée ?
Moi:je verrai pour qu'elle vienne vous voir, au revoir.
Je pars de la prison sans avoir répondu à sa question.
Il a tué sa femme et son enfant... Tant pis pour lui.
Retour à mon PVD :
Je me réveille, on ai jeudi 6 janvier, je pars prendre une douche, me lissé les cheveux qui une fois lissé m'arrive en haut des fesses. Je m'habille comme ça
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La robe qui m'arrive en haut des genoux et la ceinture juste en dessous de ma poitrine. J'ai mis un collant fin noir et des cuissardes de la même couleur.
Je descends prendre mon petit dej avec Rayan. On mange dans le silence et après avoir mi nos manteau on part direction je ne sais où.
