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Le mois de décembre est enfin arrivé et les décorations étincelantes commencent à sortir de leur boîte de carton. L'ambiance joyeuse, l'odeur des biscuits de pain d'épices prend possession de la maison et la musique des temps des fêtes mets un sourire dans chaque visage de la famille. Les enfants attendent avec impatience l'arrivée du père-noël en lui laissant un délicieux petit biscuit et un verre de lait près de l'arbre de Noël décoré minutieusement. Malheureusement, cette période n'est pas débordante de plaisir pour tout le monde. Étant enfant unique de ta famille, tu subis seule les cris et les larmes de ta mère causé par ton père qui trompe ta mère tous les jours avec l'alcool qui ingurgite matin et soir. Tu passes tes journées dans ta chambre à espérer que ton paternel ne vienne pas s'acharner sur toi. Tu souhaites plus que tout au monde qu'il parte loin de ta mère et toi. Le seul moment que tu le croises c'est le matin lorsque que tu empruntes la porte d'entrée pour aller à l'école. Le soir, tu le trouves la majorité du temps affalé sur le fauteuil une bière terminée à la main. Tu te demandes souvent pourquoi tu as ce genre de vie.
L'alarme de ton téléphone résonne dans tes oreilles et te force à ouvrir les yeux vers la clarté de ta chambre unicolore. Tu t'étires doucement puis te redresse en apercevant ton affreuse tête dans le miroir de bureau. Le résultat de quatre heures de sommeil. Tes pieds se posent sur le carrelage froid et tu te pomponnes avec une lenteur étonnante. Tu fais en sorte de te lever plus tôt pour prendre ton temps car à 7: 30, tu dois être en bas à manger ton petit déjeuner sinon des conséquences s'applique. Après un bon trente minutes, tu descends rejoindre tes parents qui sont déjà debout eux aussi.
Mère : Bonjour ma chérie, dit-elle en t'embrassant le front. Maëva : Salut maman.
L'ambiance morose est toujours au rendez-vous alors que tu te prends un bol de céréale et une pomme pour la route. Tu t'empresses à manger pour sortir de cette maison et rejoindre tes amies qui te donne au moins quelques heures de bonheur.
Père : Tu pars tôt ?
Tu sens la pression et l'anxiété monté en toi alors que ton corps se tourne machinalement vers son air curieux et autoritaire.
Maëva : Je dois parler à quelques professeurs pour des contrôles. Père : Pourquoi ? Tu l'ai a ratés, rétorque-t-il en haussant le ton ? Maëva : Non, je vais seulement leur poser des questions pour avoir des plus hautes notes la prochaine fois.
Son regard te transperce l'âme tandis-qu'il te faire un coup de tête pour t'autoriser à sortir.