Chapitre 17

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Open your eyes d Sum41

Le lendemain matin en allant au petit déjeuner, encore en retard, non pas à cause du réveil mais de Camille qui a mis trop de temps à mettre sa combinaison de plongée... et courir avec des palmes c'est pas super pratique. Nous vîmes un rassemblement dans la cantine. Nous nous dépêchâmes de nous asseoir à côté de nos nouveaux amis, puis la directrice pris la parole.

- le meurtrier a encore frappé. Cette fois pas sur un passant au hasard, mais sur une fille du pensionnat.

Toutes les personnes présentes commencèrent à parler et à crier, demandant qui c'était. Je pensai savoir de qui il s'agissait, car il y avait une personne au fond qui pleurait.

- Silence ! Elle a été tuée dans la forêt ! Cela veut dire qu'elle n'a pas respecté les règles. Nous allons donc encore augmenter la sécurité. Vous vous déplacerez par groupe, accompagnés par un professeur. Des policiers vont arriver demain matin et vont rester pour un temps indéterminé. Je vous prierais donc de dissimuler vos pouvoirs en leur présence.

Encore une fois toutes les personnes se mirent à parler ce qui créa un vacarme pas possible.

Camille levais la main et dit en criant pour dépasser le bruit :
- Si les policiers humains veulent rester, ne vaudrait-il pas mieux suspendre les cours de maniement d'armes en plus de ceux de magie ? Par exemple les remplacer par des cours de sport normaux.
- Une intervention pertinente de ta part. Je n'y avais pas pensé. Nous allons maintenant faire une minute de silence pour cette jeune fille.

Une fois la minute de silence passée nous nous dirigeâmes vers la fille qui pleurait pour obtenir des renseignements et la consoler.

- Salut. Ça va ? On t'as vu pleurer. demandais ma petite amie.
- Oui c'est juste que la fille qui est morte... Elle se remit a pleurer.
- C'était ma petite amie. continua-t-elle.
- Tu t'appelles comment ? Demandais-je.
- Charline.
- Eh bien... Charline, on te promet qu'on va la venger. On va trouver le tueur et le faire enfermer.
- Tu es quoi au juste ? demandait Camille.
- Je suis une élémentis.
- L'être surnaturels très rares qui contrôle les éléments. murmurais-je .

Puis nous restâmes avec elle toute la journée.  La pauvre avait l'impression que le tueur était partout et qu'il attendait un moment d'inattention pour l'abattre.

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