Hérédité

Chapitre 23

Burn to a cinder de Epica

On s'approchait doucement, à pas de loup de la salle de bain. Nous vîmes des choses encore pire que plus tôt dans la chambre. La baignoire était remplie de sang. Il y avait du sang partout. Au fond, Charline était accrochée au mur avec des cordes et une autre fille avec un couteau dans la bouche était en train d'accrocher Charline qui se débattait. On ne pu pas la reconnaître car elle était transformée en espèce de Gollum totalement possédé.

En nous voyant, elle lâchat le couteau et esseya de s'enfuir. Nous l'attrapâmes avant qu'elle ne sorte dans le couloir et on la plaqua au sol. C'est à ce moment là que ma petite amie choisi d'entrer en scène.

- Je voudrais savoir pourquoi les policiers son parti en courant et qu'on à... dit-elle en arrivant dans la chambre et en nous voyant sur cette fille méconnaissable. Ah je viens de comprendre fini-t-elle.
- Aide nous ! Il faudrait décrocher Charline dans la salle de bain.

Une fois là-bas on l'entendis crier et dire que c'était dégueulasse la baignoire remplit de sang.
-Ah... c'est pas moi qui l'ai dit ! Dit Camille.

Puis on enferma la fille dans sa chambre. Nous découvrîmes ainsi qu'elle s'appelait Mya, et qu'elle était la colocataire de Charline. Une fois cela terminé, on descendis à la cantine pour voir comment faire avec les policiers. Mais sur le chemin, je fûs de nouveau pris d'une vision. De ce fait on décida de se séparer de la manière suivante : Camille et Charline partiraient pour régler le problème des policiers pendant que ma petite amie et moi partirions à la bibliothèque du pensionnat pour se renseigner.

Elle était située juste sous la cantine, et était très grande avec plein de vieux livres. On chercha toute la matinée... sans succès. Nous partîmes finallement manger avec la ferme intention d'y retourner l'après midi.

En arrivant dans la cantine. on ne trouva ni les policiers, ni Camille et Charline. On s'installait donc à une table tout les deux puis on les vis arriver. On en profiterait pour leur demander ce que nous allions faire des policiers.

- On ne sais pas trop... Répondit Camille. On peut les tuer... Ou leur effacer la mémoire. Le problème c'est que c'est dangereux pour nous. On ne peut pas jeter un sort sans en payer le prix. On risquerais tout oublier aussi... bien que ça ne me dérangerais pas... Marmonna-t-il. Aussi, on peut les laisser partir en leur faisant promettre de ne rien dire.
- Pour l'instant ils restent dans le pensionnat. On n'a pas besoin de cacher nos pouvoirs du coup. Continua Charline.
- Et vous pour la vision de Yann ? Nous demanda Camille ?
- On n'a encore rien trouvé répondit ma petite amie. Mais on n'y retourne cet après midi.
- Si vous trouvez ce qu'est devenu Mya aussi. Cette créature m'est vaguement familière... Dit Camille.

À ce moment là, mon grand père entrait dans la cantine et demandait le silence.
- Comme vous le savez, votre directrice est morte. C'est pourquoi je vais la remplacer temporairement le temps qu'on retrouve un ou une nouvelle directrice. Sur ce bonne journée.

Après le repas, nous repartîmes tous les deux à la bibliothèque dans le but de trouver des réponse à nos questions.
- Yann ! J'ai trouvé un truc !!! Cria-t-elle. Regarde l'image. Elle ressemble vachement à Mya non ? À par les yeux qui sont les mêmes que sur la directrice quand elle était possédée.
- A ouais t'as raison et c'est quoi du coup ?
- Un wendigo.
- C'est quoi encore cette merde ? Ça m'a l'air pas ouf juste avec le nom.
- Le Wendigo est une créature surnaturel, maléfique et anthropophage. Cette légende peut désigner la transformation physique d'un humain comme une possession spirituel. Les Wendigos vivent dans les profondeurs de la forêt.
- Et tu penses que s'en est un la choses inhumaine enfermée là-haut ?
- Bah... ça correspond exactement au texte, donc oui. Mais il reste encore a trouver où elle a trouvé tout ce sang.
- Et à savoir si elle est bien possédée, et si oui, par qui. J'ai l'étrange impression que tout est lié à la directrice qui était aussi possédée, au Wendigo aprioris possédé aussi, et mes visions.
- C'est pour ça que maintenant on va chercher pour tes visions.