Hérédité

Chapitre 28

Universal love squad de Epica

PDV Yann :

En ouvrant les yeux la lumière m'aveugla. J'avais mal partout, et en regardant mon corps sous la couette, je vis des bandages où dessous, mes blessures n'avais pas cicatrisées. Dans le coin de la pièce je vis ma compagne dormir dans un fauteuil. Elle était trop mignonne comme ça. J'hésitais à la réveiller car j'avais beaucoup trop de questions en tête, mais en regardant dehors je vis que le soleil n'était pas encore levé. Je cherchais autour de moi une horloge ou n'importe quoi pour voir l'heure, mais sans succès.

Au bout de ce qui me semblait être une heure, le soleil commença à passer ses premiers rayons pas la fenêtre. Elle s'étira et ouvrit les yeux. Elle ne vis pas tout de suite que j'étais réveillé mais sa réaction ne se fit pas attendre.

Elle accourut vers moi, les yeux mouillés de larmes. Je lui demandai alors pourquoi elle pleurait alors que j'étais réveillé et que j'allais mieux.

- Non... Non... Tu ne vas pas mieux. Parvint-elle à articuler entre deux sanglots.
- Mais si regarde ! J'ai juste un peu mal partout mais demain ce sera passé.
- Non tu mens ! Je ressens tout ce que tu ressens, et je sais que t'a beaucoup plus mal que tu le dis et que tes plaies sont encore ouvertes. Ça fais trois jours ! C'est pas pour rien qu'on est des âmes sœurs. contuinait elle en pleurant de plus en plus.
- Mais ca va finir par cicatriser quand même, t'en f...
- MAIS TU COMPRENDS RIEN ! TU VAS mourir...

Elles s'effondra en larmes en bas du lit. Je savais pas quoi dire : j'allais bientôt mourir. Quand elle fut relevée, elle envoya un message aux autres pour qu'ils puissent venir me voir. Puis on se fit un câlin. Pendant longtemps. Très longtemps. Très très longtemps. Jusqu'à ce que Camille, Charline, Victoire et Victoria arrivent. On passa toute la matinée ensemble puis l'heure de midi arriva et ils durent partir sauf ma compagne qui voulu rester toute la journée avec moi. Mes parents me rendirent visite dans l'après midi puis repartir me re laissant seul avec elle. Le soir arriva enfin.

- Yann écoute moi j'ai un truc important à te dire.
- Vas-y je t'écoute.
- Voilà comme tu va bientôt mourir et que je ne supporterais jamais de te voir mourir sous mes yeux je vais te dire adieu en espérant te revoir un jour dans l'au-delà et rester au pensionnat vivre ma vie en espérant ne pas trop mourir de chagrin.

Je restai silencieux jusqu'au bout, sans rien dire. J'avais presque oublié ça... Aujourd'hui je vais mourir... Rien que cette pensée me donnai des frissons dans le dos.
- Adieu dit-elle.

Puis elle partie en claquant la porte. Je passai toute la nuit à pleurer, et elle aussi.

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Petite annonce très rapide comme mon lycée va fermer à cause du Corona virus ( comme beaucoup d'autres je pense, voir même toute la France) je vais peut-être pouvoir sortir un peu plus de chapitre. Je dis bien peut-être ce sera en fonction de ma motivation et de mon niveau d'ennui dans la journée.