Interrogations

297 17 1
                                    

Je me réveillais doucement mais l'environnement dans lequel je me trouvais me sorti immédiatement de mon sommeil. J'étais dans une pièce, sur une chaise avec une table devant moi. Quelqu'un se trouvais en face de moi. -Bonjour monsieur. Nous avons des questions à vous poser.
Une sorte de soulagement vint envahir mon corp. Je n'étais plus avec Tenten et Kankurô. Plus dans cet trou à rat. Je suis libre ! Un sourire vint orner mon visage.
Alors que mon cerveau commençait à démarrer, l'homme commença.
-Vous savez pourquoi vous êtes la?
Mince. Je suis dans une salle d'interrogation. Le personnage en face de moi est un policier. Je suis vraiment idiot au réveil.
-Je penses oui. Vous recueillez  des témoignages sur mon enlèvement?
-Exact. Pourquoi avez vous fait ça? Que vous ont-ils fait?
Je ne comprend pas. Pense-t-il vraiment que je ne suis pas la victime ?
-Était-ce prémédité? Renchéri l'homme.
Mon visage se decompose à mesure que sa bouche s'ouvre et se ferme. Je suis suspect. ILS PENSENT QUE J'AI ENLEVÉ TENTEN ET UN MEC QUE JE NE CONNAIS PAS ?!
-Je crois que vous vous trompez. J'ai été séquestré ! Je suis victime de cet enlèvement !
-D'accord. Connaissiez-vous les personnages que vous avez kidnappés ?
Je ne réponds même plus. Il me faut un avocat.
-J'aimerai faire appel à un avocat.
-Répondez à mes questions. Dit-il calmement.
- Non. Non, je ne connais pas mes bourreaux. A par la fille. Tenten. Je suis allé à un rendez-vous avec elle il y a quelque temps. Et elle m'a dit que Kankurô, l'homme, était son petit ami. Ils me considéraient comme le meurtrier de son frère, Gaara. Ils m'auraient enlevés pour ça.
Il ne répond pas. Il se contente d'écrire. Il écrit que j'ai tué Gaara et que Tenten et Kankurô étaient des témoins de mon crime.
Il se paye ma tête?! Je crois que je vais exploser de colère. Il ne cache même pas ce qu'il écrit !
Il range son stylo et prend un téléphone. Il a l'air de consulter des messages...
Il se leva et... il sortit. Il sortit de la pièce sans un mot. En ayant déformer mes dires. Quel connard !

Désolé pour l'attente j'avais pas vraiment la tête à écrire ! Trop fatigué !

Non... - ShikaTema -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant