Idylles & Quiproquos

Chapitre 19 - Limonade

Bonsoir à tous, 

Le chapitre qui suit est un Lemon ... Tout le chapitre !

Je préfère prévenir à l'avance, si vous n'êtes pas à l'aise avec ce genre de lecture. Il vous suffira de reprendre au chapitre 20.

À l'avenir s'il y a de nouveau du contenu aussi explicite je préviendrais.

Sur ce bonne lecture 

Geordianna 

Logan

Nous sommes dans le taxi et ma belle continue de me dire des phrases en français.

Je n'entrave toujours rien à ce qu'elle me raconte mais je suis vraiment à l'étroit dans mon pantalon.
Le fait qu'elle me parle cette langue m'excitait déjà, mais le fait qu'elle continue de le faire en sachant que ça m'excite, m'excite encore plus. Cette fille va causer ma perte.

J'ai envoyé un message à Liam qui m'a répondu un smiley avec un clin d'œil .

J'essaie de me contenir de ne pas trop la toucher, comme nous sommes tout de même dans un taxi et que le chauffeur n'a pas à supporter nos rapprochements, même s'il a dû en voir pas mal à l'arrière de sa banquette.

Bon par contre s'il pouvait accélérer je lui en serais reconnaissant.

Ça va faire deux mois que nous nous imposons cette douce torture, et j'ai de plus en plus de mal à ne pas lui sauter dessus.

J'essayais de me montrer sage, de laisser à Rose tout le temps dont elle avait besoin , mais la façon dont nous nous sommes embrassés au bureau et là l'épisode du bar, je me demande encore comment je peux être assis aussi calmement dans ce véhicule .

Enfin calme tout est relatif.

Je lui glisse à l'oreille « Rose, tu peux arrêter de me torturer le temps que nous sommes coincés dans cette voiture s'il te plait ? »

« Je connais plein d'autres façons de te torturer » me dit-elle doucement.

Pour toute réponse j'émets un grognement qui fait rire ma belle.

Nous sommes enfin devant le loft, ce trajet m'a semblé tellement long.

Je m'empresse de régler la course et entraine ma belle vers l'usine.

Rose applique sur ma main, de douces pressions et des caresses. Même ces simples gestes sur ma main, font grimper en flèche mon désir.

Le fait de savoir ce qui risque de se passer une fois à l'intérieur contribue aussi à augmenter mon état.

Je compose avec difficulté le code de la porte, car Rose a entrepris de me reparler en français tout en m'embrassant le cou.

Je suis un peu anxieux, je ne veux pas qu'elle se force, qu'elle se sente obligée, si elle n'est pas prête.

Une fois dans le monte-charge, elle plante son regard dans le mien et fait courir ses mains sur ma chemise.

Je suis là à la contempler, hypnotisé par cette femme, j'oublie d'esquisser le moindre mouvement et de répondre à son étreinte.

Elle s'aventure sous le tissu, son corps est moulé au mien et ses lèvres trouvent les miennes sans difficulté. Je crois que j'en oublie de respirer.

Je reprends contenance et mes mains partent à la découverte de son corps.

Je veux être sûr que c'est bien ce qu'elle veut. Je m'écarte à contre cœur