Chapitre 22

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Après avoir dépassé quelques maisonnettes je m'arrête devant l'une d'entre elles. La mienne. J'ouvre la porte et entre.

Moi- Tu n'as pas intérêt de tout salir, j'ai fait le ménage avant de partir.

Je sais qu'on sent fous que ce n'est qu'un détail mais c'est ma manière à moi de l'invité à entré. Il s'approche et entre, tout de suite il détaille. Une table orne en plein milieu de la pièce, un vase avec des fleures fanées dedans, à notre gauche il y a un bureau ou plusieurs papiers traînent ainsi qu'une chaise. Tout dans cette baraque est en bois. À notre droite une cheminé sur le devant un tapis tissé à la main. Plusieurs cadres ornent les murs mais rien à l'intérieur. Dans un coin de la pièce, il y a toutes espèces d'armes à part les flingues, fusils...

Moi- Si tu veux manger faudrait aller dans les réserves. J'y vais donc occupe-toi d'allumer un feu dans la cheminé.

Je ne le laisse pas répondre et je sors de ma maison, une fois la nourriture prise je fais machine arrière et rentre chez moi, l'air est plus chaleureux. Il l'a donc allumer.

Bellamy- C'est sympa chez toi.

Il n'a pas ouvert la bouche depuis la dernière fois me laissant parler seule et il me sort sa ? Pire que la dernière fois où il l'a ouvert.

Bellamy- Désolé je ne sais pas trop quoi te dire...

Je hausse les épaules et je m'installe sur le tapis devant le feu.

Moi- Tiens.

Il attrape la nourriture sèche de mes mains et je fais cuire un peu de viande.

Moi- J'espère que les autres ont réussi à contacté Luna et n'auront pas trop de problèmes.

Bellamy- Fait leurs confiances. Ils y arriveront.

Moi- J'ai déjà entendu cette phrase.

Bellamy- Ah oui ?

Moi- Lorsqu'ils m'ont sortie de cellule.

FlashBack

Un bip résonne comme un écho dans ma boîte de ténèbres. Un garde entre avec un sourire mauvais aux lèvres.

Moi- Où est ma bouffe ?

Il m'attrape le bras pour que je me lève.

Moi- Eh, vous allez faire quoi ?

Ça prise se fortifie tandis que mon bras commence à me faire mal.

Garde- Tu sors d'ici.

Moi- Ce n'est pas aujourd'hui que je me fais dériver, vous n'avez pas le droit vous savez ?

Garde- Que ce soit aujourd'hui ou dans deux semaines, tu t'es bien préparé à mourir non ?

Nous sortons de là et nous marchons dans les couloirs.

Moi- Ouais mais c'est pas une raison je suis encore mineur jusqu'à preuve du contraire.

Garde- Gaspille pas ta salive, tu ne dérives pas aujourd'hui gamine.

Moi- Tu m'emmènes où alors ?

Il fouille dans sa poche puis de sa main qui me tenant le bras attrape mon avant-bras et me met une sorte de bracelet sur le poignet.

Moi- Mais aïe ! Sale brute !

Des piques me rentrent dans la peau. Nous arrivons près de plusieurs adolescents qui sont soit en train de dormir soit en train de se débattre.

The 100 - TrikovaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant