chapter forty six

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Nevis était à son bureau et venait de voir tout ce qui clochait avec cette domestique, qui était relié à Hilary et qui était maintenant relié à Jack, son employé traite qu'il avait viré de son entreprise. Plus il regardait les photos, plus tout devenait un peu plus clair.

En effet, grâce au détective que Nevis avait mis sur Hilary, il avait appris que son "ex " si on pouvait le dire ainsi, avait une relation avec son employé traître et cette relation datait.

Il avait aussi, grâce à leur téléphone mis sur écoute, sut que Hilary et son ex avait mis en place la noyade de Reïa et qu'ils n'étaient pas à leur premier coup.

Ils étaient maintenant recherchés par la police alors que Nevis, lui, savait très bien où ils se trouvaient et vu qu'ils avaient essayé de tuer sa Reïa, il venait de donner leur adresse au chef de police de la ville et

Ils n'en sortiront pas d'aussitôt.



Il attendait patiemment derrière son bureau l'appel du policier et de ses gardes qu'il avait mis en place pour superviser et aider à mener à bien cette interpellation, avant de lui-même aller régler le vrai sujet du jour.

Ils en risquaient beaucoup et ne voulait que ça rate pour rien au monde.

- Monsieur ? L'appela sa secrétaire toujours maquillée de trop avec ses faux seins et ses décolletés plongeants

Il la regarda l'intimant de parler et elle le fit

- Le directeur général des entreprises Ford voudrait vous parler. C'est ce qu'on me fait savoir depuis en bas... dit sa secrétaire

Il n'avait pas de rendez-vous aujourd'hui et devait plutôt signer quelque dossier, mais l'affaire en cours concernant Hilary et jack demandait beaucoup d'attention.

- Faite le attendre et dite lui que je le recevrai dans une heure. Termina Nevis et sans broncher, elle s'en alla

Nevis tournait en bourrique dans son bureau alors que sa deuxième équipe n'attendait que lui pour mettre la main sur ce psychopathe de docteur

Il vérifiait quelques informations quand son téléphone sonna

C'était l'un de ses agents.

- Monsieur ?

- Hmm ?

- Tout s'est bien passé et ils ont été arrêtés par les forces de l'ordre dans cette maison loin de tout

Nevis souffla de soulagement,

- Bien. Faite ce qu'il y a à faire et emmenez la domestique aussi avec eux... termina Nevis en raccrochant.

Il descendit le plus rapidement dans le hall de son entreprise, ayant rejeté toutes les réunions et rencontre aujourd'hui et put voir dans son garage sous-terrain, tous ses hommes.

- On peut y aller... dit-il en embarquant, retirant sa veste pour un grand pull rouge et troquant son pantalon pour un Jean

Ses gardes roulaient à cent à l'heure tandis que lui nettoyaient minutieusement son arme, ce que tous ses hommes dans plus de cinq voitures derrières faisaient.

Il souffla pour la deuxième fois de savoir sa Reïa maintenant en paix du côté de son amante et était impatient de finir avec ce fameux docteur.

Il sentit la voiture stationner et voyant cet immense hôpital abandonné sans couleur distinctive, ne put donner qu'un seul mot d'ordre à ses hommes.

- Trouvez-le-moi vivant !

La police, alertée par des coups de feux et par l'arrestation des personnes qui faisaient des expériences sur des personnes humaines d'un appel inconnu, se rendit sur place immédiatement.

Elle ne sut qui avait orchestré cette opération, mais le fameux docteur recherché par tous qu'on croyait mort, était bel et bien mort à présent, tandis que ses employés étaient bâillonnés.

Ils semblaient tous tétanisés et furent embarqués rapidement par la police pour des interrogations, tandis que le corps du docteur Marlone était embarqué.

- Un beau nettoyage... dit l'officier Mac.
Même s'il ne faut pas se faire justice soit même, la personne qui a fait ça, à libérer tant de personnes surtout les enfants.
Enfin débarrassé de ce fumier.

- Dit pas ça Mac... intervint le chef de l'opération

- Excusez-moi ... dit-elle sans vraiment le penser

Tous ceux prit dans ce piège fut accueilli dans des maisons d'accueils et orphelinat pour les enfants et dans des foyers pour les plus grands.

D'autres n'ayant pas eut de chance, terminèrent dans un asile.

Beaucoup de ces enfants étaient meurtri et sans famille

La police faisait de son mieux pour retrouver les parents de certains mais la moitié des enfants n'avaient pas de famille.



L'État en avait fait un sujet parlé un peu partout dans le monde depuis hier et était aux aguets, ne laissant plus aucun hôpital abandonné et fouillaient un peu partout pour s'assurer qu'il n'y ait plus de Marlone dans le coin tandis que Reïa sentait cette page de sa vie, se refermer définitivement.

Elle savait que c'était son homme qui avait tué ce docteur et en était heureuse à vrai dire.

Il le lui avait dit et ne semblait avoir aucun remord. Elle n'avait fait que le remercier et le serrer dans ses bras

Elle était en paix maintenant

Comme ça il ne fera plus de mal à d'autres personnes

On a assez souffert.

Détruite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant