chapter seventeen

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Cela faisait maintenant une semaine que Nevis n'était pas allé la voir à l'hôpital.


La dernière fois, après qu'elle ait coupé leur contact de façon si brusque, il avait su qu'il ne pouvait se contrôler face à elle. Or, elle était encore fragile et avait besoin de prendre confiance.



Il savait qu'elle avait les mêmes effets que lui quand il la touchait ou autre, mais avec douze ans passés à être traitée comme un rat de laboratoire, elle ne devait pas connaître toutes ces choses, et lui-même ne savait pas vraiment ce qu'il se passait.



Elle lui manquait, et dire qu'il n'avait pas de ses nouvelles serait un mensonge, car il avait toujours de ses nouvelles, à chaque heure, et était heureux qu'à présent, elle puisse faire les choses seule.



Le médecin en parlant d'elle, était toujours étonné, de ce que son corps et son organisme se régénèrent si vite. Il était fier de son travail.


Aujourd'hui l'importante cargaison pour la Chine allait revenir et Nevis allait signer avec le fondateur de cette entreprise.



Il était extrêmement loyal, dans ses marchés. Il livrait toujours et quand ses marchandises arrivaient à bon port et que le receveur, après vérification, signalait que tout allait bien, acceptait maintenant d'être payé et c'était cela qui faisait sa plus grande force, car il ne prenait aucune avance et prenait son argent lui-même, quand c'était important.



Cette cargaison était très importante pour le budget de l'entreprise et aussi pour une nouvelle relation entre lui et la Chine. Cela lui ferait certainement une bonne pub hors de son continent.

Il devrait arriver dans une heure, si l'heure était bonne et que la mer, n'était pas trop agité en ce matin ensoleillé.

Il était dans son bureau à signer quelque dossier, quand on lui annonça l'arrivée d'une nouvelle employée qui, devait passer son entretien d'embauche avec lui.

Elle était là pour six mois, vu que la femme de son assistant était à terme. C'étaient les congés de paternité qu'il donnait à ses employés. Ils avaient le droit de prendre soin de leurs enfants et de leur famille. C'était fondamental pour lui.

Ce n'est pas parce qu'il n'avait pas eu cette chance, qu'il allait priver les autres... se disait-il.

Il demanda à ce qu'elle monte.

Il avait le nez dans ses dossiers quand il entendit taper

Il grogna de telle sorte que celle derrière l'entende.

Il vit son téléphone s'allumer avant de le voir vibrer. Il le prit donc, alors qu'il pouvait entendre la postulante avancer avec des talons aiguilles

Il leva la tête et la vit. Elle était belle, mais à voir, on pouvait voir qu'elle n'aspirait qu'à l'argent. Il avait ce flair. Cependant, elle avait beaucoup de qualification, donc il pouvait se permettre de la prendre.

- Bonjour monsieur... dit-elle d'une voix suave.

Il la détailla de ce fait, comme elle le voulait.

Elle avait un ensemble tailleur qui lui allait bien, mais imagine sur Reïa... Pensa-t-il.

Elle avait un décolleté très plongeant, avec un peu de monde au balcon, appréciable et jolie à voir.

Reïa serait divine dans cet ensemble rouge pour la jupe et noir pour le haut.



Elle avait des lèvres remplies de maquillage et un visage un peu trop maquillé.



Détruite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant