57. Cauchemar terminé.

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Il raccroche..

Carlos jette violemment mon téléphone par terre et il se brise en milles morceaux..
1400$ ! C'est pas lui qui a payé !!

Carlos : C'EST QUOI SA ?! TU AVAIS UN TÉLÉPHONE ?!

Je le regarde et souris.

Carlos : Je vais te le faire regretter, il est temps de passer aux choses sérieuses..

Il passe sa langue sur ses lèvres tout en regardant mon corps couvert seulement de mes sous-vêtements.
Il reçoit un coup de file.
Il s'en va en me promettant de s'occuper de mon cas..

PDV Daryl :
Ça fais 3h qu'on roule et on vient d'arriver à Los Angeles.. on arrive bientôt la furie ! Tiens bon !
Carlos avait son téléphone en plus de sa.. je vais me le faire !

PDV Lana :

*32 min plus tard*
J'entends à nouveaux des pas, je reconnais ceux de Carlos..
c'est mon heure !

Carlos : Toujours aussi belle..

Il se précipite sur moi et défait mes liens..
je n'ai plus de force, il ne m'a pas donné à manger ces deux derniers jours..
Il me porte et me jette sur le matelas, je sais que je vais y passer et je ne fais rien pour que ça s'arrête..
je n'ai plus de forces, je me laisse faire..
je ne réagi pas, mon regard est vitreux, la seule chose que je n'arrive pas à contrôler ce sont les larmes qui coulent sur mes joues..
il embrasse mes lèvres, brutalement, tout est brutal chez lui..

Je ne lui laisse pas l'accès à ma langue.
Je fais tout pour garder les yeux ouverts..

Carlos : Tu es excitante..

Il se place entre mes cuisses et je sens son excitation contre moi.. il descend sa bouche vers mon cou..
Mon buste, puis il passe ses mains sur ma poitrine, il me fait mal, mais je ne lui montre pas..
il passe son autre main entre mes jambes..
Il embrasse mon ventre et reviens sur ma bouche..
il lèche mes lèvres..

Moi : Arrête.. arrête s'il te plaît..

Carlos : Que j'arrête ?! Pendant que toi tu prenais du bon temps avec Titi, moi j'étais ici comme un con ! Alors ouais j'vais te le faire payer !

Moi : jte donne cque tu veux mais laisse moi..

Carlos : Mais c'est toi que je veux ! Tu ne l'as pas compris ?!

Je brise un instant le serment que je m'étais faite et j'en profite pour lui dire le fond de ma pensée.

Moi : MAIS JE NE SUIS PAS À TOI ! JE SUIS PAS TA CHOSE ! JTE VEUX PAS, TU ME RÉPUGNES ! DANS LE FOND T'ES JUSTE UN FAIBLE ! UN PSYCHOPATHE QUI VIT POUR DE LA BAISE ! MAIS VAS-Y VIOLE MOI ! ALLEZ ! TU LE FAIS MAIS JE NE RESSENTIRAIS RIEN ! PARCE QUE LA, JE SUIS DÉMUNI DE QUELCONQUE ÉMOTIONS DU CON ! TU ME BRISES À CHAQUE FOIS QUE TU ME
TOUCHES ! TU BRISES CHAQUE CHOSE QUE TU TOUCHES ! JE NE MAUDIRAIS JAMAIS ASSEZ LE JOUR OU J'AI RENCONTRÉ TON TRISTE CHEMIN ! T'ES QU'UNE M*RDE SANS PLUS ! UN PERVERS NARCISSIQUE ! UN PERVERS TOUT COURT DANS TOUS LES SENS DE CE P*TAIN TERME QUI TE REPRÉSENTE !

Carlos : Je vais te déchirer..

Et bim une gifle ! Je me laisse retomber..
il reprend là où il en était..
je pleure encore plus..
il essaye de dégrafer mon soutien-gorge, je me débat, une gifle ! Un coup de poing dans le ventre ! Et c'est génial !

Carlos : Tu me laisses pas d'autre choix.. jte le répètes prend exemple sur ta soeur, qui elle, était beaucoup plus docile..

Moi : Je vais me venger..

« Diablesse » - is it love Daryl Où les histoires vivent. Découvrez maintenant