69. Je suis parti à la guerre.

676 34 7
                                    

- Le lendemain -
Je me réveille après cette nuit merveilleuse, mais à mes côtés, je ne vois pas Daryl.

Je sors du lit, je me rince le visage et commence ma petite routine habituelle ( brossage des dents, crème..... )

Une fois que tout est fini, je descends dans la cuisine et j'ai l'impression de sentir l'odeur du café noir, mêlée à une autre odeur et je crois malheureusement savoir de quoi il s'agit.

Je vais sur la terrasse et j'y vois mon sulfureux brun, assis sur un des fauteuils, torse nu, cigare à la main et café également, il a l'air perdu dans ses pensées et regarde l'horizon.

Q-quoi ? Cigare ?

Je m'approche de lui.

Moi : Tu fumes Daryl ?

Daryl : Avant oui.

Je m'assois sur lui.

Moi : Qu'est ce qu'il y a ?

Il dépose son cigare et son café, et pose ses mains au creux de mes reins.

Il plante son regard intense dans le mien.

Daryl : Rien Lana.

Je me laisse tomber dans son cou et souffle.

Moi : Si tu le dis Daryl.

La matinée passe et Daryl n'a pas arrêté de faire des allés retours je ne sais où, puis sinon il est resté enfermé dans son bureau, nous nous sommes même légèrement embrouillés.

J'ai une scène à décrire qui s'est passée ce matin, quoi de mieux qu'un flashback ?

*9h53 - Flashback*
Je suis tranquillement posé dans le canapé, je regarde un film : La belle et la bête.

Et oh ! Qui a dit que les Disney c'était pour les enfants !
Alors ? Personne bah voila !

Soudain, je vois Daryl qui descend les escaliers à une vitesse incroyable.
Il est vêtu de son blazer pourpre et de son t-shirt ou chemise blanche.

Moi : Tu vas où encore ?

Daryl : Lana. Ça ne te regarde pas.

Moi : Pas de souci, par contre toi ça te dérangerai pas que je fasses des allés retours sans arrêt ?! Ok pas de problème.

Daryl : Qui t'en empêche ?

Moi : Très bien Daryl, va.

Daryl : Bah voilà.

Moi : Tait toi et fais ce que tu veux, ça m'intéresse plus.

Daryl : Tu vois quand tu veux.

Moi : Par contre me prends pas pour une conne parce que là ça va pas l'faire. J'reste calme pour l'instant mais voilà.

Daryl : Jte tiens juste en dehors de tout ça Lana.

Moi : Tout ça de quoi ?! Si tu m'expliquais ! Ça changerais pas mal de choses.

Daryl : Parler pour rien dire comme d'hab, je t'en parlerais pas maintenant. C'est trop tôt.

Sur ces dernières paroles, il me laisse en plan.
Je souffle bruyamment.

*Fin du Flashback*

Et ce n'est qu'une scène parmi tant d'autres.
Là il est dans son bureau je crois.
Et j'ai remarqué quelque chose d'autre.

Aujourd'hui, il y a beaucoup mais beaucoup d'hommes devant la villa.

« Diablesse » - is it love Daryl Où les histoires vivent. Découvrez maintenant