CHAPITRE 4

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PDV Bellamy

J'étais à la maison quand la porte d'entrée s'ouvrit. Je descendis voir qui c'était. Et je découvris Clarke.

Bellamy : Tu vas bien ?

Clarke en baissant la tête : Je ne me sentais pas bien.

Bellamy : Raconte-moi.

Clarke : Bellamy...

Bellamy : Ce n'est pas parce qu'on ne se supporte pas la plupart du temps, qu'on ne peut pas se soutenir quand il le faut.

Clarke : D'accord.

Bellamy : Viens.

On se dirigea vers ma chambre. Je m'installais sur mon lit et elle fit de même.

Clarke : Quand on était devant le lycée je ne me sentais pas bien. Et quand j'ai vu les autres ce sentiment s'est emplifié. J'allais leur annoncer la nouvelle quand j'ai fais un bloquage, je me suis enfuie dans les toilettes.

Bellamy en rigolant : Charmant.

Clarke avec un regard assassin : C'est pas le moment Blake.

Bellamy : Désolé. Continue.

Clarke : Et j'ai commencé à pleurer toutes les larmes de mon corps.

Bellamy : C'est normal.

Clarke en recommençant à pleurer : Le pire c'est que je me dis que j'aurais du être dans cette voiture. Ils voulaient que je vienne mais moi non. J'aurais du mourir avec eux ! Ce n'est pas juste.

Je la prends dans mes bras et lui frotte le dos pour la rassurer. Je la laisse pleurer.

Bellamy : Ne dis pas des choses aussi horrible Clarke. Tu devais là où tu devais être. Ne te tortures pas l'esprit avec ça. Et moi j'ai besoin de toi.

Et là je viens de me rendre compte de ce que je viens de dire. Elle se redresse d'un coup pour me fixer de ses beaux yeux azur. Je voulais que cet instant ne se finisse jamais mais la porte d'entrée se dit entendre. On se détacha l'un de l'autre aussi vite que l'éclair. On descendit. Je reconnus Lincoln, un collègue. Je ne l'ai pas encore dit mais je travaille dans la police.

Lincoln : Salut Bellamy. Et toi tu es ?

Il montrait Clarke.

Clarke : Clarke. Je vis ici temporairement.

Lincoln : Ah oui ?

Bellamy : Tu voulais me dire quoi ?

Lincoln : On viens de recevoir une affaire j'étais venu te chercher.

Bellamy : Ah d'accord. Clarke, ça ne te dérange pas ?

Clarke : Non vas-y.

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Dans la voiture de Lincoln

Bellamy : Pourquoi tu ne m'as pas simplement appelé ?

Lincoln : En fait il n'y a pas d'affaire.

Bellamy : Quoi ? Mais pourquoi tu me l'a pas dis ? Et pourquoi t'as besoin de moi ?

Lincoln : Ce n'est pas une vraie affaire. Tu as entendu parler d'un couple mort en voiture à cause d'un drogué au volant ?

Un couple, un drogué, en voiture ? C'est très proche de ce qu'il s'est passé avec les parents de Clarke.

Bellamy : Ils se nommaient Griffin ?

Lincoln : Comment tu le sais ?

Je n'ai aucun mots qui peu correspondre à ce que je pense.

Bellamy : Clarke, c'est leur fille.

Lincoln par la surprise voulu se garer.

Lincoln : Pardon ?

Bellamy : Je l'héberge en attendant ses 18 ans.

Lincoln : Ce n'est pas un simple drogué ai volant. Je pense que c'était prémédité.

Bellamy : Tu te moques de moi ?

Lincoln : J'ai voulu voir le dossier du drogué et dans son sang il y avait une drogue vraiment particulière que seules des personnes vraiment riches peuvent avoir. Il n'était pas riche.

Bellamy : Je n'y comprends plus rien. Tu es en train de me dire que cette personne devait tué les parents de Clarke ?

Lincoln : Oui.

Bellamy : Tu en a parlé au capitaine ?

Lincoln : Oui et elle dit que si c'est vrai ce n'est pas à nous de nous en occuper.

Bellamy : Qui s'en occuperai ?

Lincoln : Je ne sais pas. Je voulais vraiment enquêter sur ça. Et je me suis tu pourrais enquêter avec moi.

Bellamy : Lincoln, c'est délicat. On ne sait pas si ce que tu dis est vrai et on ne pourrait pas enquête sans renseignements fiables et tour le reste.

Lincoln : Si c'est vrai ?

Bellamy : Clarke vit chez moi, tu crois que je vais lui dire que ses parents se sont fait peut-être assassiné ?

Lincoln : Je ne sais pas.

Je pense que je ne lui dirais rien tant que je ne sais rien de plus...

Bellamy : Je pense que je vais attendre d'en savoir plus.

Lincoln : On commence quand ?

Bellamy : Demain ou après-demain. Par contre mon congé se finit dimanche.

Lincoln : Ça marche.

~~~~~~~
PDV Clarke

À la maison j'attendais Bellamy ça faisait longtemps qu'il était parti, je sais que quand on est de la police on peut avoir une affaire à l'improviste mais là ça fait longtemps.

" Tu t'ennuies de lui. "
Quoi ? Non !
" Continue à te mentir à toi-même... "

Octavia n'est pas encore rentrée donc je suis toute seule.

??? : Je suis rentrée.

Clarke : Salut Octavia. Ça s'est bien passé ?

Octavia : Oui, on est tous dans la même classe. Et je t'ai ramener tout ce qu'on a fait.

Clarke : Merci. Mais je pense que je ne vais pas reprendre avant un temps.

Octavia : Tu vas carrément arrêter les cours ?

Clarke : Non je pense que je vais prendre des cours en ligne pour que tu n'ais pas à faire ça tous les jours et pour éviter cette pression d'être avec les autres, faire paraître que je vais bien...

Octavia : Faudra proposer l'idée à Bellamy. D'ailleurs il est où ?

Clarke : Un de ses collègues, Lincoln je crois, est venu le prévenir d'une affaire.

Octavia affolée : Attend, Lincoln était ici ? Et je n'étais pas là ?

Clarke : Quoi ?

Octavia : Rien !

Clarke : OK....

Octavia : Tu veux grignoter un truc ?

Elle vient tout juste de changer de sujet... Elle me cache quelque chose, c'est sur.

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Chapitre 4. Là encore j'ai voulu mettre de l'émotion donc dîtes-moi si j'ai réussi. Et du Bellarke...
Alors vous en pensez quoi de ce potentiel assassinat ? Vous-y croyez ?
Et pourquoi Octavia était comme ça ?

Une amitié ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant