CHAPITRE 44

194 11 4
                                    

PDV Clarke

Emori : Donc comme vous le savez dès que j'ai eu 18 ans j'ai voulu quitter mes parents. Du coup je suis partie et j'ai voyagé mais il n'y a pas longtemps j'ai pensé à rentrer et me voilà.

Clarke : Je suis contente que tu sois revenue.

Octavia : Moi aussi, et je pense que quelqu'un d'autre sera content....

Emori : On était pas ensemble quand je suis partie.

Octavia : Presque ensemble.

Emori : Laissez tomber.

Clarke : Oui oui.

Octavia : Tu es allée dans quels pays ?

Emori : Canada, France, Italie, Espagne, Japon, Chine, Brésil, j'ai passé un peu de temps en Russie, Allemagne, Égypte, et c'est tout.

Clarke : 10 pays !?

Emori : J'avais de l'argent.

Clarke : Comment d'ailleurs ?

Emori : Mes parents me donnaient de l'argent de poche et je n'ai jamais dépensé 1$.

Clarke : Wouah.

Octavia : C'est lequel ton pays préféré ?

Emori : J'ai eu une petite préférence pour l'Italie.

Octavia : Ah oui, pourquoi ?

Emori : Je sais pas trop... L'histoire peut-être.

Octavia : Ohhhhhh...

Emori : Et vous alors ? Clarke, j'ai cru comprendre que tu habitais ici ? Pourquoi ?

C'est vrai qu'elle ne le sait pas.... On n'allait pas lui dire pas textos sachant qu'elle était peut-être à l'autre bout du monde.

Clarke : Je... Mes, heum... Pfff...

Emori : Quoi, qu'est-ce qu'il se passe ?

Octavia : Tu veux que je lui dise ?

Clarke : Ça va aller.

Emori : Me dire quoi ? Vous me faite peur.

Clarke : Ça s'est passé en août mes avaient un congrès de cinq jours et quand ils devaient revenir... Ils ont eu un accident. Ils sont morts.

Le visage d'Emori se décomposa.

Emori : Je... Je suis désolée.

Elle me fit un câlin et Octavia se joignit à nous.

Emori : Et tu vis ici. Au moins tu as de la bonne compagnie.

Clarke : Oui. Tu restes définitivement ?

Emori : Je vous quitte plus.

Clarke : Comment tu vas faire ? Tu n'as sans doute plus énormément d'argent et il va falloir que tu trouves un travail.

Emori : Je pense que je vais reprendre tout doucement. D'abord trouvé un studio, travailler dans un café ou dans une petite boutique et laisser faire le temps.

Clarke : Oh. Mais tu voulais pas faire...

Emori : Oui mais pour les études il va falloir attendre encore un peu.

Clarke : D'accord.

Emori : Il y a des bonnes nouvelles ?

Octavia : Oui !!!

Clarke : Je suis admise à l'école d'art avec une bourse.

Emori : C'est génial ! Félicitations !

Une amitié ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant