Une amitié ?

CHAPITRE 8

PDV Bellamy

Clarke n'est pas revenue. Ça m'inquiète, elle aurait dû rentrer ! Même à 6h ça m'aurais pas dérangé !
Là il est 10h donc Octavia va aller en cours, aujourd'hui elle commence plus tard que d'habitude. D'ailleurs, elle aussi s'inquiète, ça se voit.
Je sais qu'elle n'a pas dormi sous un pont, elle est sans doute aller chez Raven ou un autre de la bande.
Je suis content, par contre, d'un côté qu'elle est fuie. On aurait dû s'expliquer, et ça, je ne sais pas comment ça pourrais tourner.

Octavia : J'y vais !

Bellamy : Bonne journée.

Je suis en train de regarder dans les placards si on a besoin de quelque chose, mais non, ça va.

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PDV Clarke

Il est 10h et Raven doit aller en cours, donc il est tant pour moi de rentrer, et de parler avec Bellamy...

Raven : Tu me promets de lui parler ?

Clarke : Oui maman.

Raven : J'aime pas quand tu m'appelles comme ça.

Clarke : Ah oui c'est vrai, tu préfères Raven, ce qui est moins drôle.

Raven en me tirant la langue : Je dois vraiment y aller. Bonne discussion.

Clarke : Bonne journée.

Je sors avec elle et moi me dirige vers la maison. Je me sens vraiment stressé alors qu'il n'y a aucune raison puisque je n'ai rien à cacher ou à révéler. J'arrive plutôt vite, je rentre et ne vois personne. Je fais quand même un tour pour m'assurer qu'il n'y a personne, mais je vois Bellamy. Comment je dois l'interpeller ? Salut ? Bellamy ? Je sais pas ! Bon ça va être salut.

Clarke : Salut.

Il sursauta : Clarke ! Je me suis inquiéter !

Clarke : J'avais besoin de m'éloigner, même si c'était pour pas longtemps.

Bellamy : Je comprends. S'il te plaît laisse moi t'expliquer.

Clarke : Je voulais qu'on parle donc ça tombe bien.

Bellamy : Cool. Heum... Je commence par quoi ?

Clarke : Le début ?

Bellamy : Oui, bien sûr. Quand Lincoln est venu pour une "enquête", c'était faux. Il venait pour me dire ce qu'il avait découvert. Il m'a parlé d'un couple mort par un drogué en voiture. J'ai pensé à tes parents donc j'ai demandé à Lincoln si c'était les Griffin. Oui c'était eux.

Clarke : Donc tu ne savais pas qu'il voulait en savoir plus, découvrir la vérité ?

Bellamy : Non, moi je pensais qu'on avait une affaire. Donc je lui ai dis qui tu étais.

Clarke : Par curiosité, il a réagi comment ?

Bellamy : Il s'est garé, à cause de la surprise.

Clarke : Ohhh...

Bellamy : Je lui ai dit que tu étais leur fille. Il était surpris, vraiment. Il m'a dit que c'était peut-être prémédité. Il a voulu voir le dossier du conducteur et dans son sang il y avait une drogue que seul des personnes très riches peuvent se fournir, lui, il n'est pas riche. Donc pour lui ce serait des personnes qui lui ont fourni cette drogue pour les tuer. Voilà, on s'est dit qu'on allait bosser discrètement en attendant d'avoir plus de réponses...

Clarke : Ça tient pas la route.

Bellamy : Pourquoi ?

Clarke : C'est pas logique, il a pu se fournir une drogue que des gens ont fabriqué. Proche de cette fameuse drogue, et moins cher.