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Je regarde maintenant le drap qui recouvre mon miroirs depuis maintenant les quelques temps que je suis rentrer m'enfermer dans ma chambre.

Je le soulève ou pas ?

Ma main se dirige sans que je le contrôle, et elle agrippe le tissus fin.

J'ai un moment d'hésitationavsnt de fermer les yeux et de titrer d'un coup sec. J'entends un léger bruit, un truc qui tombe au sol.

Surrement le drap.

J'ai l'impression qu'une crise d'angoisse vient de ce declancher.

Je suis incapable s'ouvrir mes yeux. Pourtant je fait comme si je cherchais un point de repère.

Je m'affole et j'essaie de m'assoir au sol. Dès que j'ai réussi, à faire cela, je me couche sur mon cotée droit. Mes yeux s'ouvrent enfin. Ils se posent naturellement vers l'objet devant moi : mon téléphone.

Ça fait tellement de temps que je ne l'ai pas ouvert.
Pourtant je n'en ressent pas l'envie.

Mon souffle se coupe.

Je cherche quelqu'un des yeux... et même si je criais, avant qu'il ne débarre la porte, je suffoquerais déjà.

Il est trop tard pour moi !?

En cherchant mon air, je me redresse.

Je tombe nez à nez avec mon miroir, mais ce n'est pas snob reflet que je croise des yeux, mais ma mère.














Elle me regarde d'un aire bienveillant, et elle me murmure:

Ma mère- ouvre la fenêtre, tousse et remercie moi après.

Sans réfléchir, je fait ce qu'elle me dit.

Je me lève et j'ouvre la fenêtre en toussant.
Je sens alors de l'aire à nouveau passer dans ma gorge et à mes poumons.

A~ merci maman....

Il est maintenant temps que je me vois.

Je m'approche du miroir et après un petit moment de stresse, je me décide à enfin me regarder.

Mes cheveux ne sont pas démêler, et il sont pas en très bon état. Mes yeux sont fatigué et ils crient leur tristesse.

Ma mâchoire et mon visage en général est très amaigrie.

Sans me mentir, j'ai peur de ce que  je vois dans le miroir. Ce que je vois me fait honte et ça me dégoûte.

Je suis si blesser, si mal, si moche.

Je comprend que Jordan a eu un sursaut en me voyant.

Je regarde mon corp: j'ai un ventre extrêmement plat, des jambes qui peuvent s'apparenter à des jambes hyper mince, beaucoup trop mince. Mes bras sont tout petits.

En me regardant, j'ai peur.

J'ai l'impression que je vais me casser.

En réalité, j'ai peur. Malgré toute la peur que je ressent, je trouve que je suis réconfortante. J'ai l'impression que mon corp va se casser mais qu'il est mon seul rempart.

Je dois seulement me reconstruire une carapace, comme j'en ait toujours eu une.

J'ai peur d'ouvrir la porte pour allez manger. J'ai peur de voir des personnes qui vont me juger.

Mais je m'approche naturellement de la porte, comme si je faisais juste sortir d'une sieste. Arrivée devant, mes yeux se pose sur la poignée.Je suis comme pétrifier. Et je meme si je mettrais ma main sur la poignée, je serais incapable de la tournée. J'ai peur, peur de me retrouver dans un quotidien qui me déplaise , car je sais qu'en ouvrant cette porte je vais à nouveau me confronter au pire, encore et toujours.

Je stresse. Ce petit monstre grandit en moi et il me recouvre totalement. Et il me fait comme une seconde peau.

Je tremble.
Ma vision se trouble.
Mes yeux se ferme.
Je tombe au sol.
J'essaie de me retenir avec mes bras.
Oups...
J'ai mal.
Je me couche.
J'esssaie de me concentrer sur mes respiration, mais j'ai vraiment mal à mon bras. Quand je passe ma main dessus, un liquide en sort. Du sang.

Merde !



Ma coupure a du se réouvrir.

Mon souffle s'accélère petit à petit.

*** penser
Je me suis réveillé, j'ai marcher jusqu'a la fenêtre. J'ai ouvert cette dernière et j'ai vue la lune qui éclairait la rue. Le lampadaire qui clignote, éclaire la même plante que d'habitude.
***fin

Je suis adosser contre la porte. Mon bras pend dans le vide. J'entends les goutes de sang qui tombe d'une manière machinale.

Touc
Touc
Touc

Mes respirations se sont caller sur les bruits de sang qui tombe sur le sol. Mes yeux sont braqué sur la fenêtre fermer qui est devant moi.

Je n'ose pas sortir alors que je devrai aller désinfecter cette ligne qui c'est ouverte.

C'est pas la première fois que ça arrive, mais c'est la première fois qu'il y a des gens dans l'appartement.

Je me lève et je prend un tissus et je me le met autour du bras.

Je serre et je fait comme un bandage.

Je crois que je vais rester un moment ici. Je vais voir si je pert beaucoup de sang ou pas.

J'ouvre la fenêtre et je regarde la lune qui éclaire la rue, avec le lampadaire qui clignote.

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Nouveau chapitre pour ma fête !!

[[les chapitre risque d'être plus distancé car j'ai eu une vraiment grosse mauvaise  nouvelle dans ma vie et je vais pas super bien. Désolé, je vais quand même je vais essayer de poster 2x par semaine. ]]

Moi.

 Une lueur d'espoir (Redbox)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant