Nos cœur connectée malgré nos univers séparer

chapitre 8: Une nuit aussi lumineuse que sombre

Pdv d'Alex:

Le doux visage de Leïa était un peu caché. J'avais un peu de difficulté à voir ses yeux. Illuminer pars la faible lumière des trois seul lampadaire du parc, je la regardais et elle aussi. Comme à chaque fois, on ne savait pas quoi dire. On se fixe et on ne dit rien, peut-être pars gêne ou bien pour pas se faire dire qu'on parle tout seul. Mais moi j'en avais asser de juste la regarder, même si je pourais regarder son visage jusqu'à ma mort. J'avais besoin de l'entendre, d'en apprendre plus sur elle....même si je la connais quasiment pars coeur car jusqu'à aujourd'hui Leïa était une amie que j'avais imaginé de tpute pièce. Peut-être que ces ça qui nous bloque à chaque fois qu'on se voit depuis le début de cette folle journée. Je ferma les yeux et me lança et l'aborda.

- Bon je vais me lancer....Salut. dis-je
- Salut, dit elle

Je la regarda, en attente d'une réponse plus pousser. Je m'y attendais.

- Je suis désolé... j'essaie d'être naturel mais sa fonctionne pas très bien...je me frotta le derrière de la tête et je la regarda pour voir si elle allais réagir.

- C'es correct, tu es déjà bon d'avoir dit un autre mots que "salut", me dit elle en souriant.

Je rougis jusqu'à la racine des cheveux, malgré la noirceur de la nuit, je pouvais voir son magnifique sourire. Cacher dans l'ombre du reflet du lampadaire.

- hé hé oui, moi aussi je me trouve bon. Dis-je à la rigolade.

Elle pouffa d'un petit rire. Je sourie. "VICTOIRRE!!" Me criais-je au fond de moi. J'avais réussi à détendre l'atmosphère. Bravo Alex.

- Comme dans mes rêves les plus beaux. Dit elle avec douceur.

Je m'arrêta et la regarda. Je ne savais pas quoi dire ni ressentir. Au fond de moi c'es comme si on m'avait poignardé avec un couteau, je me sent inexistant. Juste illusion... je serra les dent, mais j'avais un côter qui étais joyeux que la fille de mes rêves, rêve à moi. Je regarda dans sa direction. Elle avais la mine basse, j ne voyais plus son visage. Elle fixais le sol et ses épaules sautllais un peu. Elle pleure!!!.

Pdv de Leïa:

Je suis nulle... pourquoi j'ai dit ça moi. Comme si il était qu'une illusion! Je me sens mal maintenant. Lui aussi à l'aire confus. Je serra les poing et les dents. Des larmes commençaient à couler sur mes joues. Alex n'es pas une illusion. C'es le meilleur ami qui m'accompagnais, dans mes joie, mes peine, le seul "garçon" qui me comprend. Et maintenant je viens tout détruire. C'es dans ma nature de toute foutre en l'aire. Bravo Leïa. Puis pendant que je me rabaissais. Une main rassurante se posa sur mon épaule. Je leva les yeux et vis Alex qui me regardais troubler. Voyant sûrement ma légère gêne d'être aussi pret de lui. Il ôta maladroitement sa main de mon épaule.

- Sa...Sa vas...dit il gêné.
- oui... je suis désoler je n'es pas penser à mes paroles...je suis vraiment nulle...

Il me regarda, surpris pars mes derniers mots.

Pdv d'Alex:

Je rêves ou elle viens de dire devant moi QUE ELLE ES NULLE!? Non je ne peu pas accepter ça! Leïa pour moi elle es loin d'être nulle. Je ne peutas la laisser se rabaisser. Je relèva le tête. Mais elle n'était plus là. Une vague de rage triste m'envahit, non. NON!!! Pourquoi maintenant! Je veux la revoir maintenant. Je tourna les talons et parti à toute vitesse vers ma maison. Pendant ma course je pleurais des larmes de tristesse, je n'es pas pu l'aider lui remonter le moral, lui dire qu'elle es extraordinaire. Arrivé à ma fenêtre j'enlève mes souliers et sauta dans mon lit. Je mis ma tête sous ma couette et me recovilla mes genoux contre mon torse. Après quelques minutes de tristesse je finis pars m'endormir. D'une nuit sans rêve. Noire aussi noir que mon moral.

Pdv de Leïa:

À peine vue son visage, Alex disparut comme une ombre on soleil. Je tourna les talons, maintenant ce n'était plus des larmes timide qui coulait sur mes joue, c'était des chutes. Les chutes Niagara. Je courais vers ma maison. Cette journée ressemble à des série, toujours des "À suivre" à chaque fin d'épisodes. Je sais qu'il allais me dire quelque chose, pour que j'arrête de pleurer. Alex, il es comme ça, il m'a toujours soutenue, dans mon imagination. Je sais qu'il m'aurait dit le contraire. Que je ne suis pas nulle mais milles fois le contraire. Arrivé à ma fenêtre, j'enlève mes soulier et saute littéralement dans mes couvertures. J'enfoure ma tête dans le crueux de les trois oreillers. Je pleura jusqu'à m'endormir. Je fini pars m'endormir, les larmes son un de mes remèdes contre mon trouble du sommeil. Je me rabaisse jusqu'à finir pars pleuré et je fini pars m'endormir. Mais c'es l'étape ultime. Sa peut vraiment faire mal à notre moral de nous rabaisser au point de pleurer. Bref...ma nuit fut noir, aussi noir qu'une nuit sans étoile. Une nuit sans rêve je ne me suis pas balladée entre les différents monde de mon univers en compagnie d'Alex. Cela se fut comme un coup de couteau à dans le coeur.

Pdv d'Alex:

Le lendemain matin je me réveilla. Mais quelques chose clochais. Mon moral était à zéro. Je n'avais pas envie de sourire. Contrairement à mon habitude. Je leva mon bras et pris mon ipod, je suis vraiment vide. Je mis mes écouteurs et commença écouter de la musique. Après avoir écouté quelques musique je décida de me lever. Je m'habilla et monta déjeuner. En haut le sourire chaleureux de ma mère m'accueilla. J'essaya d'être un minimum souriant et d'être le plus possible normal et naturel. Je m'en voudrais si mon moral allais gâcher la journée de ma mère. Mon déjeuner se passa sans problème. J'étais un peu déçue de ne pas avoir vue Leïa à la table se matin. Je mis mon assiette dans lévier et fit la petite vaisselle du matin. Et parti vers ma chambre.

À suivre....

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Et voilà aaahhhh je ne sais pas pourquoi mais dans ma tête on dirait que sa fait mille ans que je n'ai pas écrie. Enfait je passe tellement de temps a faire autre que je voit pas que j'écrie pas tant que ça... je vais me rattraper car j'adore écrire et je veux faire plus alors wala au prochain chapitre.

Étoile Créative