CHAPTER XLIII

1.7K 100 12
                                    

« Laissez lire, et laissez danser ; ces deux amusements ne feront jamais de mal au monde. »
Voltaire

*PDV LEXA*

Je ne pensais pas ressentir ça de nouveau, ce sentiment de bien être, d'apaisement tout entier.
Mon corps est si léger, ma conscience est libre !
Si seulement je pouvais avoir cette sensation chaque matin lorsque j'ouvre les yeux.

....

J'ouvre délicatement mes paupières et je prend quelques secondes pour réaliser ou je suis, je regarde autour de moi et je vois un léger rayon de soleil traverser la pièce, il tape contre ce rideau blanc qui éclaire toute la chambre.
Cette chambre est entièrement blanche, des murs jusqu'aux draps, ça apporte tellement de pureté, de paix....
Je frotte mes yeux et je tourne légèrement la tête j'ouvre de nouveau mes yeux légèrement ébloui par la lumière et je vois une chevelure blonde dos à moi. Je sens seulement son corps chaud contre moi, je me tourne complètement de sorte à passe mon bras autour d'elle. Je frotte ma main contre son bras et enfouie mon nez dans ces cheveux, je souris légèrement en sentant son odeur à plein nez. Ca faisait si longtemps que nous avions pas eu de réveil comme cela ! Depuis quelques temps elle était occupée par son taff je vivais le jour et elle la nuit.
Je sens son corps se soulever suite à une forte respiration, j'arrête le mouvement de ma main afin de la glisser le long de son ventre jusqu'à ces mains qui se trouvaient le long de son visage :

- Bonjour.... dit elle d'une voix cassée

- Bonjour... dit je en déposant un baiser sur sa tête

Je sentais contre moi tout ces membres s'étirer, elle se tourne vers moi, et je voyais enfin son visage, elle avait les yeux toujours fermés et son visage paraît si paisible, tu es si belle Clarke, je souris et je baladait mes mains dans ces cheveux. Je passais ma main le long de son visage et remettait les mèches rebelles.

- Tu vas bien ?

- Je vais très bien ! Dit je tout en détaillant chaque détail de son visage.

*PDV CLARKE*

J'ouvris doucement les yeux et je vis les yeux de Lexa, ce verts qui brillent grâce au rayon du soleil, ces yeux que où je pourrais passer ma vie a les voir regarder. Son regard quitte mon front et croise le miens, j'approche ma main de son visage et la pose délicatement sur sa joue chaude, nous continuâmes à nous regarder en silence, seulement notre regard communique.

Je souris légèrement du coin de la bouche, son visage paraît si calme si serein, j'aime la voire comme ca elle s'est tellement bien dissimuler son mal être c'est fou :

- Tu es sûr que tu vas bien ? Demande ai je une dernière fois tout en me concentrant sur son regard

Je la vis fermer les yeux et souffler légèrement, se rapprocher de moi les yeux toujours clos, elle s'approche dangereusement de mes lèvres, je ne fis aucun mouvement. Je l'aime il n'y a pas de doute mais depuis que je sais pour sa tumeur je suis pas très à l'aise, je ne peux m'arrêter de penser quand je suis avec elle et que ce que je vois c'est seulement la tumeur qui est en elle, j'aimerais agir comme sa petite amie et l'embrasser comme si de rien n'était mais j'ai toujours peur, peur que lorsque je baisse la garde il lui arrive quelques choses, qu'elle est une crise ou je ne sais pas, tout les scénarios inimaginables !
Elle s'approche de plus en plus, mon regard devis sur sa bouche mais je reste craintive. Je vois Lexa ouvrir de nouveau les yeux et me fixer, je sais qu'elle voit mon inquiétude et mes questionnement. Elle joue avec son regard elle sait que je la regarde, elle sait que je sais ce qu'elle veut, elle est si forte a ce jeu ! Elle devis son regard vers mes lèvres et croisent de nouveaux mes yeux afin de communiquer son intention !
Sa main monte le long de mon bras afin de rejoindre mon visage je sens la pression de sa main qui m'attire contre elle. Je ne peux pas résister comment pourrai-je ?
Je baisse de nouveau le yeux vers sa bouche et cette fois ci je sais que je ne peux plus résister, je m'empare de ces lèvres, les mouvements est doux et je sens son sourire s'afficher contre mes lèvres, elle sait comment me faire craquer.
A ce moment je sentis tout le pois de mes épaules se relâcher, pendant quelques secondes j'oubliais qu'elle était malade, j'oubliais tout et seulement elle comptait, seulement ce baiser qui me provoquait une satisfaction intense.

Action ou vérité ? TERMINÉ Où les histoires vivent. Découvrez maintenant