Croyez vous à cette histoire ?
Vous qui la lisez depuis le début, vous vous êtes déjà demandée si cette histoire était réel ?
Peut être que je vous mens depuis le départ, peut être que je vous raconte seulement mon rêve ? Un désir suprême que j'aurais voulu avoir, vivre une histoire d'amour intense.......
Non je vous rassure ce n'est pas un rêve, et c'est une histoire réel ou plutôt devrait je dire c'était une histoire réel.
Oui vous m'avez bien entendu « C'était »
Lexa Woods n'est plus, cette brune aux yeux verts, cette jeune femme qui cherchait un sens à sa vie, cette jeune femme qui a répondu à un simple message d'une inconnue perdu dans sa vie,comme quoi le monde n'est pas remplit que de fou, il y a des gens bien, des gens saints, des gens comme vous et moi qui cherche simplement une place dans ce monde.
Lexa en faisait partir, Lexa était quelqu'un de bien, elle était la femme parfaite à mes yeux elle était la lumière dans ma vie, elle m'a guidé vers le bonheur, elle a combler ma vie, mon cœur.Lexa Woods est décédé il y a 9 ans de cela, Suite à ces doux mot qu'elle m'avait glissée la veille, elle s'est ensuite éteinte à l'aube. Elle n'a pas souffert, elle était encore elle même jusqu'à 1h du matin, puis elle a finit par fermée les yeux. Les heures qui ont suivis, sa respiration et son cœur on finit par s'arrêter, laissant place à un corps vide, éteint, sans vie, mais son visage restait son visage, il était paisible, montrant aucune douleur.
Je me souvient encore lorsque je m'étais endormi contre elle, sentant encore sa chaleur chaude contre moi, jusqu'à ce que le froid le plus glaciale s'empare d'elle.L'enterrement fut beau, et émouvant, je n'aurais même pas les mots pour décrire ces jours de deuils, la douleur est horrible vous déchire le cœur en mile morceau lorsque vous entendez son nom.
Vous vous demandez probablement quelle a été ma vie après sa perte... pour être sincère, je me sentais vide, comme si une partie de moi m'avait été enlevé. Je ne pouvais pas passer la porte de notre appartement sans avoir tout les souvenirs qui remontent, je ne pouvais pas regarder notre chien, sans me rappeler que ces derniers mois il adorait dormir auprès d'elle la tête posé sur son bras. Je n'avais plus de raison de me lever le matin, je voulais dormir toute la journée et là voir chaque nuit dans mes rêves sentir encore sa chaleur contre ma peau. Lorsque j'ouvre les yeux je découvre une place vide à ma droite, sa place qui resta intact durant des mois, je ne pouvais pas dormir de son côté ni ouvrir son placard sans être envahit par une vague d'odeur qui lui était sienne.
Mais elle n'est évidemment pas partie sans laisser des instructions, Bellamy avait pour charge de me donner des centaines de lettres écrit par sa main, que j'ai ouvert seulement quelques mois après sa mort.
« Clarke si tu lis cette première lettre c'est que j'ai déjà quitté ce monde et que Bellamy ta bien fait parvenu cette lettre lorsque était prête à enfin me lire. Je n'ose imaginer à quelle point tu dois te sentir mal et détruite et sans but à ce jour. Mais je ne veux pas te voir te morfondre tout le reste de ta vie, je veux que tu te battes, je veux te voir sourire et heureuse. Je veux vivre à travers toi et voir chaque beau moment que la vie t'offrira.
Assez dit de louange !
Quand tu seras prête mon avocat te confira mon testament, dedans tu y trouvera mon héritage, je te lègue tout ce qui m'appartient assez pour t'offrir une nouvelle vie, ainsi que mon entreprise j'espère que tu trouvera un héritier digne de son nom pour la diriger.
J'ai laisser une boîte remplit de lettre avec des instructions que je t'ordonne d'exécuter durant les années qui suivront.
Je te retrouve donc bientôt ! »Comme promis j'ai lu une bonne partie de ces lettres et je continue de les lires aujourd'hui. Quelques mots chaque jour qui me rappel à quelle point tu me manques.
VOUS LISEZ
Action ou vérité ? TERMINÉ
FanfictionMa vie est une routine, chaque matin je me lève, je vais en cours, je rentre, fais mes devoirs et je me couche. Rien ni personne n'arrive à faire palpiter ce monde dans lequel nous vivons. Jusqu'au jour où j'ai composé ce numéro, à partir de la tout...