Chapitre 1

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- Mademoiselle Falki, je vous pris faite nous part de votre avis sur le sujet. 

- Vous racontez n'importe quoi monsieur. Vous nous faites un discours passionnant sur les vikings, comme s'ils étaient des êtres mythiques qui méritent notre admiration. Vous les décrivez comme des êtres hors du commun qui étaient avancés sur le temps, qui  traitaient bien les femmes, qui fessaient régner la justice. Seulement, ce n'est pas la vérité. Il y a des histoires qui ce transmettent de générations en générations dans les familles vikings et vous seriez bien écœuré de savoir que vos héros n'étaient rien d'autres que des barbares, des pillards, des violeurs, des assassins égocentriques sexistes et matchos. 

- Bien sûre mademoiselle, je sais très bien que ce peuple était considéré comme des barbares, nous avons conscience qu'ils ne faisaient pas que des choses louables tous les jours. 

- Non, vous n'avez aucune idée des immondicités de ces êtres. Savoir qu'aujourd'hui les programmes d'histoire leur consacre 3 cours entiers sur trois ans est tout simplement répugnant. 

- Si mon cours vous répugne, je ne vous retiens pas mademoiselle Falki. Cependant, je trouve dommage qu'un élément comme vous ne fasse pas plus d'effort pour rendre ce cours aussi intéressant qu'il devrait l'être. Je vous pensais un élément prometteur...

- Vous avez raison je ne devrais pas rester-là, je vous fait perdre votre temps et vous le mien. Désolé de vous décevoir monsieur. 

Mathilda Falki se leva attrapa son sac et rentra chez elle. Elle ne supportait plus les gens acclamé ces brutes épaisses, elle aurait rêvé d'avoir des origines plus raffiné. Elle attrapa son téléphone et constata qu'elle avait trois appels manqués de sa grand-mère. Elle la rappela aussitôt. 

<< Bestemor que ce passe-t-il ? >> 

<< Je suis désolée mademoiselle Mathilda, c'est votre grand-mère, elle refuse de manger. Elle dit qu'elle ne se nourrira pas tant qu'elle ne vous aura pas vue... Habituellement, je ne cède pas à ces caprices, mais ça semble sérieux. >>

<< Ne vous inquiétée pas Élyse, je prend le prochain train et je serais-là dans 3 heures. >>

Un fois la communication coupée, elle ne perdis pas de temps, sa grand-mère était la seule famille qui lui restait. La grand-mère de mathilda était âgée de 95 ans. 

Dans le bus qui la ramenais chez elle, Mathilda prit son billet de train direction Manchester. 

Une fois dans le train un drôle de pré-sentiment l'envahis. Sa grand-mère n'avait pas l'habitude d'agir avec autant de précipitation. Elle avait l'impression de partir vers sa destinée sans n'avoir rien préparée. 

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Sa grand-mère vivait dans une petite maison en crépis, dans le Manchester. Mathilda ne perdit pas de temps, elle entra dans la maison et remercia l'infirmière de bien s'occuper de sa bestemor , puis accourue au chevet de celle-ci. 

- Bestemor, je suis là. Qui a t-il ? 

- Te voilà enfin ma petite... Je sens que c'est bientôt la fin pour moi. 

Mathilda se figea sur place et ce mit à trembler légèrement. Sa grand-mère ne pouvait pas partir, elle n'avait pas le droit de partir, sans elle Mathilda sera seule au monde. Elle n'aurait plus personne à appeler, plus personne à qui raconter ce qui lui arrivait, personne pour la réconforter, personne pour ce soucier d'elle. Les larmes montaient et commençaient à inonder  son visage. 

- Ne pleures pas ma petite. J'ai bien vécue et maintenant c'est ton tour, tu ne sera pas seule. 

La vielle femme sortie une enveloppe et la remis à Mathilda. 

- Tu as de la famille. Tu connais mieux que qui compte nos origine et l'histoire de notre famille. Tu es la dernière de notre ligné. Il est temps que tu récupères ce qui nous aie dû. 

- Bestemor se sont de vieilles histoires, elles n'ont plus lieux d'être aujourd'hui...

- Ne dit pas ça ma petite ! Au contraire, c'est bien réelle, toutes les informations sont dans la lettre. Promet-moi que tu le feras. 

La grand-mère de Mathilda peinait à rester éveillée, mais elle semblait attendre la réponse de sa petite-filles pour enfin lâcher prise et partir. Mathilda le ressentait et ne voulait pas répondre, elle ne voulait pas être seule.

- Me le promets-tu ? Insista sa grand-mère. 

- ... oui, je te le promet Bestemor... Dit-elle la voix remplit de sanglots. 

La grand-mère fut soulagée instantanément. Elle fit un beau sourire à Mathilda et lui caressa doucement la joue en essuyant les larmes de sa petite fille. Elle la remercia du fond du cœur d'avoir si bien pris soin d'elle et lui promis que sa vie serait merveilleuse à elle aussi. Malthilda pleurait maintenant à grosses larmes, elle tenait sa bestemor dans ses bras et celle-ci expira son dernier souffle. 

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Les préparatifs de l'enterrement prirent quelques jours. Puis, abattue Mathilda du entreprendre le tris des affaires de sa grand-mère. Elle retrouva de nombres reliques vikings, des pièces de l'époque un sac de voyage en cuire, une sublime dague avec le manchon travaillé présentant la devise de sa famille. 

<<Le trèfle violet jamais ne flanchera >>

Le trèfle violet était maintenant la fleur nationale du Danemark. Mathilda eue un rictus amer en lisant cette phrase. Leur famille avait flanché bien tôt dans l'histoire des vikings. Elle se leva en amena ces trouvailles dans sa chambre. En les déposant elle aperçu la lettre que sa grand-mère lui avait remis le jours de son décès. 

Maintenant la question se posait. Allait-elle quitter ces études à Oxford pour venir vivre dans la maison de sa grand-mère? Allait-elle vendre cette demeure et tourner la page ?  Où allait-elle tenir sa promesse et finalement partir à l'endroit que cette lettre lui révélerait ? 

Elle attrapa la lettre et l'ouvrit, il était tant qu'elle affronte son destin. 

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Hello, voici une petite histoire sur les vikings j'espère que vous l'apprécierez 

Désolé pour les fautes j'essaie de faire de mon mieux pour les éviter ! 

Dit moi si vous comprenez bien surtout ;)  <3

Femme de Viking, moi jamais !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant