Femme de Viking, moi jamais !

Chapitre 16

-Point de vue Mathilda- 

Ma chambre était envahis, Freya, Helga, Gaya, Sarah (beaucoup trop de femme ayant le nom qui fini pas a !) et Elisabeth étaient dans ma chambre. Alric était là aussi au fond de la pièce contre le mur. Astrid et Helmi de jeunes femmes viking avec qui j'avais discutée quelques fois quand j'aidais aux champs venaient d'entré à leur tour dans ma chambre. Chaque femme émettait son avis sur ma santé, ce qui m'étais arrivé, ce que j'aurais du faire ou ne pas faire. Freya avoua même que si j'étais toujours en vie c'était grâce à Alric qui m'avait sauvé la vie en me retrouvant, je n'arrivais pas à regarder ce dernier dans les yeux. Je savais qu'il était là au fond et son simple nom me faisait rougir... Mon subconscient m'avait fait l'embrasser et étrangement c'était une des deux seules chose que je n'avais pas oublié de mon coma en plus de mon choix de rester au VIIIe siècle. J'accusais encore le coup, voir Elisabeth caresser son ventre rond avais achevé de me convaincre de revenir a cette époque, il fallait que je change les choses.

- Voilà pour toi. 

Gaya me tendit un gros paquet bien emballée dans un vieux tissus beige. 

- Qu'est-ce que c'est ? 

- Ouvre-le idiote. Gala avait toujours son franc parler. 

J'obtempéra et l'ouvris, il s'agissait d'un cape de fourrure.

- Mais, il ne fallait pas voyons ! 

Elles me regardèrent toutes amusé et Gaya se frappa le front.

- C'est ce que je dis tu es idiote ! Bien sur qu'il le fallait empoté ! si tu avais été mieux couverte, tu aurais pu marcher jusqu'au village sans mourir gelée ! On aurait même du te le donner avant !

Elles approuvèrent toute les paroles de Gaya. Je les regardaient et des larmes se mirent à couler le long de mes joues. Astrid intervint :

- Gaya avec tes paroles brusque tu l'as fais pleurer !

- Non, non je vous assure que ce n'est pas son manque de douceur qui m'a fait pleurer, au contraire ! Je vous remercie toutes ça me touche que vous soyez toutes la autour de moi. 

Astrid et Helmi deposèrent un autre paquet son mes genoux. 

- Attend avant de pleurer alors car tu n'as pas encore tous reçu. 

J'ouvris le nouveau paquet, il s'agissait de gant de fourrure pour aller avec la cape. 

- Merci infiniment les filles. 

- Je crois qu'elle a besoin de repos. 

La voix d'Alric avait transpercé la pièce. Les femmes approuvèrent ces dires et se levèrent pour celles qui était debout. Ma petite chambre qui étaient pleine se vida doucement, seule Sarah, Élisabeth et Alric étaient encore là. 

- On a nous aussi un petit quelque chose pour toi Mathilda. Sarah s'approcha du lit et me tendis une jolie écharpe tricoté à la main. 

- Oh merci, j'adore les écharpes ! La votre est sublime, comment je peux vous remercier ? 

Sarah s'amusa de ma formule et répondit :

- En te rétablissant vite ! Nous aussi on va te laisser te reposer. 

Les deux esclaves quittèrent ma chambre me laissant seule avec le viking. Il s'approcha sans un mot de mon lit et s'assied sur le bord de celui-ci. J'essayais d'éviter son regard, je devais ressembler a une folle. Il attrapa mon menton et m'obligea à le regarder dans les yeux. 

- Comment tu te sens ? Fut la question qu'il me posa. 

- Je... je me sens mieux... 

Il était évident que le rouge avait envahis mon visage, il fallait que l'image de ces lèvres coller aux miennes quitte mon esprit et vite ! pour que je puisse me ressaisir. Il se rapprocha soudainement de moi ce qui me fit sursauté et posa le dos de sa main contre mon front. 

- Tu es chaude. Je vais demander à Freya de te réchauffer du bouillon. 

Toujours avec le dos de sa main sur mon front, il m'obligea à me coucher dans mon lit, puis il remonta la couverture sur moi. Il prit les paquets qu'on m'avait offert et le déposa sur la chaise prêt du feu. Puis, il se dirigea vers la porte sans un seul mot, avant qu'il ne l'a franchisse je dis :

- Merci ! Merci de m'avoir sauvé et de t'occuper de moi. 

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J'avais eu raison de ma grippe et le soldat de l'hiver avait frapper Frederikshavn de plein fouet. Tout était recouvert de neige, les enfants jouaient avec celle-ci, c'était de toute beauté. Alric avait insisté pour qu'on aille se promener dans la foret et j'avais fini par accepter. M'obligeant à m'équiper de ma cape, mes gants et mon écharpe, j'étais prête. 

On marchait en silence profitant de l'aire revigorant, écoutant nos pas qui froissaient la neige. Alric marchait devant. Je m'accroupit un instant et forma une boule de neige que je lui envoya en plein derrière la tête ! 

Il se figea un instant avant de se retourner vers moi, un sourire machiavélique sur le visage. Il se pencha à son tour pour récupérer de la neige et je fis de même, le projetant ma boule avant qu'il ne m'envoie la sienne, puis je me mis à courir . On s'amusa ainsi une bonne dizaine de minutes, essoufflé d'essayer de le semer je m'arrêta et rattraper par lui, il me mit de la neige plein le visage. On éclata tous les deux d'un rire franc. Ça faisait du bien un peu de légèreté. Alors qu'on reprenait tous les deux notre souffles, Alric me posa cette question :

- Dit moi ce que tu veux. 

Je regardais Alric, que voulait-il dire ?

- Tu m'as dit l'autre fois que je ne savais pas ce que tu voulais, alors dit moi qu'est-ce que toi, tu veux réellement? 

Je le regardais et répondit : 

- Je... Je voulais rentré chez moi. 

- Tu voulais, tu ne veux plus ? Et ce n'est pas ici chez toi ? 

- Non, ce n'est pas ici. Dis-je.  

- Alors d'où viens-tu ? demanda-t-il. 

Je n'avais pas envie de lui mentir. Je ressentais le besoin de dire la vérité. Je ne voulais plus être seule à savoir. 

- As-tu peur de la magie ? répond-moi s'il te plait. 

- Non.

- Ce que je vais te dire va te paraitre complétement insensé. Je vais passer pour un folle, mais tous ce que je vais te dire est vrai. Je le jure. 

Alric acquiesça. Qu'elle était la meilleur formule à utiliser dans ce genre de situation... Je n'allais quand même pas dire coucou, je viens du future !... Hé bien en faite... autant commencer par le début. 

- Je suis née le 14 octobre 1994 à Manchester en Angleterre, je viens du future. 

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Hello ! Désolé du délai, pour me faire pardonner je vous ai mis deux chapitres ce soir, j'espère que vous aimerez !

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Et merci de me lire !