C'était le calme avant la tempête, nos drakkars étaient amarrés. Alric me pris l'avant-bras, me fit descendre du bateau me cala contre lui et murmura a mon oreille :
- tu es mon ombre, compris ?
J'hochais la tête, tous mon être tremblait et je devais être livide. Je jetais un coup d'œil autour de moi. le silence était inquiétant. Gaya était près de mon oncle, elle avait peint sont visage en noir. Les autre vikings aussi avaient revêtu leur parure de guerre.
La stratégie de mon oncle était que nous attaquions par vagues afin de surprendre l'ennemi, sans arrêt.
La première vague de vikings Danois pourfendis les aires, Dans un silence assourdissant je les vies se frayer un chemin entre les maisons, puis le son d'un cord se fit entendre et alors certain Nortois sortir de leur demeure l'arme à la main. La première vague commençait un combat acharnée. Au centre de la place je vis Gaya sa chevelure blonde était reconnaissante entre mille, elle était la représentation d'une tigresse enragée.
Thorgeir nous fit signe, il était temps que la deuxième vague entre en piste. Les viking Nortois étaient de plus en plus nombreux. Ma main tremblait, les images de mon combat contre Alric me remontèrent en mémoire. Mon époux du le ressentir il agrippa ma main et me tira vers lui.
- Si la peur prend le dessus tu sais quoi faire. Pour l'instant reste près de moi.
Que m'avait-il dit ce matin... le troue noir totale. La panique m'avait fait oublier ! Quel idiote j'étais !
Je n'avais plus le temps de tergiverser, il fallait s'élancer vers le terrain de guerre. Je suivais Alric du mieux que je pouvais, mais il n'y avait rien à faire la grandeur de ces jambes étaient bien plus supérieur au mienne. La différence qui nous séparait se faisait sentir. Le temps sembla se mettre au ralentis. Je vis mon époux brandir son épée contre un viking à la chevelure noire. Cet homme eu un moment d'hésitation qui lui fut fatale. Le regard de cet homme avait reconnue Alric avant de mourir. J'étais figée, comme une enfant qui pleure au milieu du parc parce qu'on lui a enlevé sa poupée préférée. Alric se retourna vers moi. Il connaissait les gens qu'il tuait. Il se précipita vers moi et me poussa au sol barrant au même moment une attaque qui avait été porté à mon encontre.
Au sol couverte de boue, j'entendais des cris et des cris, puis un sortie du lot :
- MATHILDA, LÈVE TOI !
Alric avait hurlé et m'avait fait sortir de ma bulle.
- Cours va te cacher ! Je t'ai dit ou aller. Je t'ouvre la voie. Me dit-il.
Il avait raison je ne pouvais pas resté au milieu comme une fleure, j'allais me faire charcuté. Alric brandit son arme et envoya valser deux autres vikings. Du sang gicla et vint tacher mon visage, au même instant je vis une ombre lourde foncé sur moi du sens opposé à Alric. L'homme voulu abattre un lourd coup de marteau sur moi. Je l'évitais de justesse, et l'adrénaline pulsa dans es veines. Mes longues heures d'entrainement refirent surfaces et je changea de positions aussitôt pour décontenancé mon adversaire. Cela eu l'effet escompté, le viking ne savait plus ou frapper pour m'atteindre, ce qui le fit entré dans une rage folle. Il se mit a faire valser son marteau dans tous les sens. Ce qui rendait mes esquives plus difficiles. Je réussi a jeter un coup d'oeil vers Alric, celui-ci voulait venir m'aider, mais il était déjà très occupé. Il me lanca néanmoins un regard et murmura du bout des lèvres. << Tu sais quoi faire. >> Il disait vrai, il m'avait préparer a cette situation. Je ne devais plus esquiver mais attaquer. Alors que je changeais à nouveau de position, je me fis glisser sur le sol et arriva face à face avec le ventre de mon adversaire. Ma rapière dégainée à la main, je l'enfonçais comme dans du beurre et la fit remonter jusqu'à l'autre extrémité du viking, une trainé de sang accompagna mon geste. J'en avais plein mes vêtements. L'homme s'effondra lourdement sur le sol, sans vie.
Je n'eus pas le temps de dire ouf, qu'une vikings fonça vers moi frontalement, me menaçant de ces hachettes. Je réussi a bloquer son premier coups, mais sa technique était semblable à la mienne et sa position avait déjà changer quel me chargeait déjà. Je n'avais pas le temps de bouger que je sentis la lame me lacérer le flanc droit. Je fus décontenancé et la douleur fut si fulgurante que j'en eu le souffle couper et tomba à genou. La viking nortoise s'approcha rapidement pour me porter le coup de grâce.
Le temps d'arrêta un instant, j'eus le temps de penser que j'allais finalement mourir que c'était ainsi qu'allait prendre fin ma vie. Je vis la hachette s'élever dans les aires pour prendre la direction de ma jugulaire. Puis, le geste ne se termina jamais. Ce ne fut pas m'a tête qui s'envola dans les aires, mais celle de la viking. Mon oncle se tenais derrière son corps sans vie qui se balança et tomba à coté de moi. Mon oncle me regarda et me dit :
- Dépêche-toi de sortir de la ville et de rejoindre cette crique.
________
Plusieurs heures avant la bataille.
Nous étions nue enroulé dans les couvertures, j'étais lover dans les bras d'Alric, celui-ci était légèrement relevé dans le lit et avait son bras droit qui reposait son son genou remonté. Je pris son bras et traça la ligne de ces veines.
- Tes veines ressemble à l'eau qui coule des roches et qui forme plein de petits cours d'eau.
- Mathilda.
- oui ?
- Je ne veux pas que tu combattes.
Je levais les yeux vers lui.
- Mais c'est trop tard pour ça...
- Non ça ne l'est pas. Écoute moi bien. Alric se redressa d'avantages m'obligeant à m'asseoir moi aussi. Quand nous seront chez moi, tu devras traverser la ville, je te couvrirais. Quand tu arrivera près de l'autel dédier à Odin, tu sera sur le bout de la falaise. Sur la gauche un sentier est dissimulé sous un framboisier, il longue la falaise et il est très escarpé, tu le prendra et fait très attention de ne pas glisser. Au bout tu atteindras une crique elle est dissimulé sous du lierre, mais tu sauras que tu es arrivé quand tu entendra l'eau coulé. Cache-toi là, je viendrais te chercher quand la bataille sera terminé. Souviens toi-en.
Alors qu'il me parlait mes pensées prenaient beaucoup de place je fis néanmoins oui de la tête, Alric semblait vraiment inquiet, il se pencha vers moi et m'embrassa à nouveau, puis il quitta la chaleur de notre lit pour s'habiller alors que le ciel était toujours noir. Il se tourna vers moi et ajouta.
- Mathilda, c'est l'heure.
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Femme de Viking, moi jamais !
RomanceMathilda 21 ans, étudie l'histoire à l'université d'oxford. Venant d'une famille de viking, elle connait tous de ce peuple, mœurs, barbaries, religion, mythes et elle les déteste. Mais la vie a un drôle de sens de l'humour, quand un événement la ram...