Pas de réécriture pour ce texte, je n'en ai pas envie du tout :

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Du 7 Avril 2019, 16h52 :

Douloureuse chute du printemps,
Giboulées d'avril à toi me rends, vois-tu ?
Suis-je un fou à attendre de faire mieux?
À vouloir toujours plus ? Je me brûlerai les ailes
Mais peu m'importe car la pièce maîtresse
De ma pièce, de mon art tout entier me manque.

Je ne manque à rien. Il ne me manque rien.
Car si l'art ne m'attend pas, je n'attends rien
De lui non plus... Nuancer mon propos...
Il manque ma pièce maîtresse à mon art
Pas à mon être, existence, ou amour
Car tu es là. Mais tu n'y es pour rien

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