Du 7 Avril 2019, 16h52 :
Douloureuse chute du printemps,
Giboulées d'avril à toi me rends, vois-tu ?
Suis-je un fou à attendre de faire mieux?
À vouloir toujours plus ? Je me brûlerai les ailes
Mais peu m'importe car la pièce maîtresse
De ma pièce, de mon art tout entier me manque.Je ne manque à rien. Il ne me manque rien.
Car si l'art ne m'attend pas, je n'attends rien
De lui non plus... Nuancer mon propos...
Il manque ma pièce maîtresse à mon art
Pas à mon être, existence, ou amour
Car tu es là. Mais tu n'y es pour rien
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Les écrits Morts
PoesíaIer recueil : « Du Deuil » - Les écrits Morts - 29/06/2018 - 29/06/2019 - Ce que vous apprêtez à lire est un tranche de vie d'un ado qui a grandi depuis. Je gardais ces poèmes précieusement, je les publie peu importe qui ça gêne, ce sont mes œuvres...