À Elle :

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Textes retrouvés, datés du 3 Janvier 2019 :

(Réécrits, retouchés le 20 Juillet 2019)

Tu sais je ne connais pas de solutions miracles à tous tes problèmes ; mais je sais que l’amour peut faire des miracles, tu le sais aussi bien que moi. Et aujourd’hui plus que jamais on a besoin de se parler, de se poser mais pas par message, en face, avoir des moments plus intimes et j’entends par là nous deux, seuls à discuter de nos problèmes ou à discuter des choses qui nous font vibrer. Le principe du couple qu’on s’est imposé je dirais que c’est l’honnêteté, le fait de toujours dire ce qui ne va pas à l’autre et c’est une excellente chose parce que ça nous permet de mûrir mais surtout de s’aimer mieux encore qu’hier. Je vais pas te faire un speech sur l’amour mon message est déjà assez long comme ça...
Mais sache qu’avec tout le respect que je te dois et l’amour que je te porte tu mérites mieux que d’être torturé par ces problèmes qui t’envahissent. Je veux que tu saches que j’aime tout de toi, la courbure de ton dos touchant mon torse quand tu te mettais devant moi pour dormir, l’odeur douce de tes cheveux que je mangeais littéralement, tes mains souvent froides, les bosses que provoquent tes seins sur ton t-shirt blanc de pyjama, l’adorable petit fessier qui épouse la ligne parfaite de tes cuisses et qui jusqu’à tes pieds en passant par les mollets sont d’une pureté sans égal... Je ne parlerai évidemment pas des deux adorables lèvres qui touchent les miennes chaque jour pratiquement ainsi que ton minuscule nez et tes yeux en amandes quand tu souris si joliment et si innocemment... Je ne veux pas terminer ce paragraphe parce que je sais qu’après celui-ci les courbes de tes hanches s’échapperont de mes mains pour ne laisser que l’amour qui nous unit de manière si intense qu’on pourrait le toucher comme je touche ton délicieux regard de braise parfois ensommeillé, parfois réveillé toujours est-il que la plus belle femme du monde, ce n’est ni Miss Tahiti ni Misse France, ni même Miss Monde ou Miss Univers ou n’importe qu’elle autre enfant de la perfection qui se voudrait l’idéal que chaque homme voudrait, mais bien toi. Parce que quand je te regarde, quand tu n’es pas là, quand tu es devant moi ou à San Francisco : pour moi quand je suis (j’existe, je pense, je vis), il n’y a que toi. Or je suis. Donc je t’aime. Tu es sans doute la personne avec qui je pourrais parler durant toute une nuit sans fatiguer comme je fais maintenant, seul, mais comme on a déjà fait tous les deux, tu es la personne que j’aime, que j’affectionne, tu es ma personne en même temps que je suis la tienne, car ton cœur et mon corps t’appartiennent tout entier. Ma dulcinée, ne te laisse pas avoir par toutes les peines que tu m’as énoncées plus tôt, aime-moi plutôt et tout ira mieux car je ferai de même.
Toi, ma femme, je t’aime.

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