Send Nude [TAEKOOK]

Réel 35

J'arrivais à destination. Je m'avançais jusqu'à la porte et toquais.

Pas de réponse.

Je tentais de nouveau, toujours pas de réponse.

Et si il lui était arrivé quelque chose ?

J'essayais d'ouvrir la porte, et elle s'ouvrait. Je m'inquiétais vraiment. Pas de réponse mais la porte était ouverte. Je pénétrais dans la maison. J'analysais l'espace. Aucune trace de Jungkook. Je montais les escaliers. J'arrivais devant une porte. Je l'ouvrais, c'était la salle de bain. Je la refermais et passais a la pièce suivante. J'ouvrais la porte, la pièce était plongée dans le noir. Je cherchais après la lumière en tâtant le mur. La lumière prenait alors place. Je voyais une boule sous la couette. c'était lui. Je m'approchais doucement. Je m'installais sur le bord de son lit. Je posais une main sur la couette et la caressais doucement.

"Kookie, c'est moi. Est-ce que ça va ?" Chuchotais-je.

Pas de réponse.

Je tirais la couverture mais j'en étais empêché. Jungkook s'agrippait a elle.

"Fiche le camp Taehyung !

-Jungkook ?

-Dégage !"

Sa voix se brisait et j'entendais des sanglots. Hors de question que je le laisse. Je tirais de toute mes force sur cette fichue couverture. J'arrivais à la dégagé, Kookie ce cachait le visage. Je prenais ses poignets et essayer de les déplacer de son visage.

"Aïe...

-Pardon Kook."

Je le laissais cacher son visage. Je lui avais fait mal, je m'en voulais.

"Taehyung, part.

-Il en ai pas question.

-Tu vas.. Partir oui ? Casse toi ! Bordel !"

Il dégageait ses mains de son visage pour me frapper le torse. Au moment où je l'avais vu. mon cœur s'était brisé.

Son si jolie visage, était taché d'hématomes.

"Jungkook, qu'est-ce qu'il c'est passé ?!

-Espèce de con ! Bouge de là ! Je veux plus te voir !"

Il continuait de me frapper et pleurait. Le voir dans cette état me faisait mal.

"Bébé, calme toi."

Je lui prenais les mains délicatement, pour ne pas lui faire mal. Il se calmait, mais pleurait toujours. J'amenais sa tête contre mon torse. Il dégageait ses mains de mon emprise pour m'entourer la taille. Je le laissais pleurer contre moi.

Pendant presque une heure.

Mon pauvre coeur.