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Hinata:
Il était très stressé quand il a vu sa fille prendre de l'élan pour essayer de tenir debout et de marcher. Il n'arrêtait pas de trembler et avait peur qu'elle se fracasse le crâne contre le coin d'un meuble. Mais finalement, tout s'était très bien passé.
Kageyama:
Il n'arrêtait pas de forcer son fils à marcher. Il voulait qu'il joue au volley le plus vite possible, et pour ça, la marche est la première étape pour un futur volleyeur. Apparemment son fils n'était pas du même avis, il avait fait à peine 2 m, et s'était rassis parce qu'il en avait marre. Kageyama ne lâchera pas l'affaire, et toi ça te désespérais.
Nishinoya:
Vos enfants étaient souvent en trotteur, vous n'aviez pas trop le temps d'être toujours derrière eux. Mais après avoir vu que que cet objet pratique n'était pas bon pour la marche des bébés, vous aviez décidé de les motiver pour qu'ils marchent seuls. Ils avaient toujours du mal à trouver l'équilibre mais ils étaient courageux et voulaient réessayer à chaque fails.
Sugawara:
Votre fille voulait marcher mais avait trop peur. Quand elle se retrouvait seule, elle pleurait parce qu'elle avait peur de tomber et de se faire mal. Heureusement que vous étiez là pour la rassurer, et aujourd'hui, elle marche comme une championne.
Tsukishima:
Votre fille était un grand bébé pour son âge et à cause de ses grandes pattes, elle avait du mal à trouver l'équilibre et s'emmêlait toujours avec ses pieds. Il lui a fallu de nombreux mois pour qu'elle puisse marcher toute seule, et c'est un grand soulagement pour vous.
Kuroo:
Votre garçon ne voulait jamais marcher quand votre chat était dans les parages, il avait peur de lui. Il avait très vite trouvé son équilibre, mais le matou l'effrayait tellement qu'il en perdait tout ses moyens. Kuroo l'avait donc mis dans une autre pièce en attendant qu'il puisse apprendre à marcher, mais rien à faire, dès qu'il revenait c'était la catastrophe. Mais bon, il a quand même fait quelques mètres.
Kenma:
Elles n'avaient pas envie de marcher, elles préféraient être assises. Elles piquaient toujours une colère quand vous essayiez de les faire galoper. Vous n'aviez pas abandonné pour autant et grâce à vous, elles ont trouvé le plaisir de gambader.
Oikawa:
Votre enfant n'avait pas besoin de vous pour marcher. Il était même mieux sans vous, enfin, surtout sans son père. Oikawa n'arrêtait pas d'être derrière lui et le collait dans tout ce qu'il faisait, alors ça l'avait agacé. Aujourd'hui, Oika' pleure de joie en voyant son petit kiki gambader dans les prés.