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......................................................................................................................................................................................... Ce vide , une vie très étrange, je suis là recroquevillée sur moi à pleurer dans un silence triste. Mon cœur n'arrête pas de croire en une bête amélioration. Mais pourquoi...............................

La porte de la salle de bain s'ouvre , je l'entend . Je lève même pas la tête je vais me tuer . Puis j'entends qu'on pousse la porte vitrée, sur le champ je l'entendît ce précipiter ..

— Seigneur... Seigneur.. Alina.. ça va ? Mon dieu.. elle essaie de retirer la serviette mais je m'y forçais de honte .. Mon amour lève toi je vais t'aider..

Je lève les yeux et la fixe instantanément, mon regard respirai la haine , et il inspire toujours à la haine . Mes muscles se contractèrent, j'avais les points serrés.. et la vie gâchée.

— Où étais-tu ? J'ai si hurler si.. si pleuré .. la voix cassée et a peine audible .. j'ai supplier.. qu'est-ce qu'il faut que je fasse pour qu'il arrête .. elle s'est précipitée et m'as enlacé fortement..

— je vais chercher à t'aider à fuir si tu veux ..

— pour aller où ?

— ... j'ai une petite ferme .. tu y restera cacher un moment.. ensuite tu retournera dans ton pays ..

— .. et tu n'as pas peur ?

Elle ne m'a pas répondu et s'est levée pour ensuite m'aider à me relevé, on n'a cheminer jusqu'au lit et je me suis assise dessus , la tête baissée, à réfléchir . Réfléchir à sa proposition de m'enfuir, mais c'est pas que je ne veux pas m'enfuir mais , et si il l'apprend ? Que lui fera-t-il ?

— Pense pas à moi , Liño ne me fera rien . Me dit-elle en me donnant une robe et des sous-vêtements propre.... habille toi, on va aller se promené un peu .

— Qu'est-ce que tu racontes, où va-t-on aller ? Demandais-je paresseusement en m'habillant. Aux enfers ?

— peut-être bien .. mais non ! Nous irons au centre commercial et au restaurant, écoute je vais te faire goûter nos spécialités.

— ... je viens à peine de me faire violé ... dis-je en français . Tu veux que je sorte ?

— oui , et .. je sais que ce que tu traverse est vraiment difficile mais , écoute , ton téléphone à été détruit, au moins si on sort tu pourras t'en acheter et rediscuter avec tes parents.

—... pour leur dire quoi ?

— que tu va bien , et que tu te bat ! Écoute , elle s'accroupit et me prend la main , ce contacte me rend si douce .. elle plonge son regard dans le miens. Tes parents doivent vraiment s'inquiéter de ne pas t'avoir parler pendant tant de temps.

— Je sais pas mentir à ma mère ! Et lui dire que tout va bien c'est du grand n'importe quoi !

— ....

— Je peux pas !

— écoute , Liño , n'acceptera jamais que tu donne ta localisation et crois-moi que je t'aiderai à fuir pour l'instant sortons .. prendre de l'air .. la porte s'ouvre et Marcel entre avec Tomas , je comprends pas pourquoi ils sont tout deux là mais je reste tranquille.

— Mila , le patron te demande ! Dit Marcel encore dans cette langue .

— Et pourquoi ?

— Tu demande des explications à ton patron ! Répond Tomas en haussant le ton .

— je demande parce qu'il n'est pas mon patron !

— Arrêtez vous deux ! Mila tu es demander ! Faut que tu partes voir .

— ça tombe bien , je lui informerai de la sortir avec elle . .. elle se lève et me dit rien puis sort . Ils la suivent et me laisse seule . Je m'allonge et regarde le plafond . C'est si beau . Mais cette chambre a été témoin de tant de mal .

Puis ses mots reviennent.

<<<<<Tes parents doivent vraiment s'inquiéter de ne pas t'avoir parler pendant tant de temps.>>>>>

Elle n'a peut-être pas tort là dessus , nous partons dans deux semaines et j'ai pas encore entendu la voix de ma mère , ni de ma sœur . Oh seigneur, c'est cette vie que tu m'as donc choisis. Être violé ? Humilité ? Rabaissé!
....................

{ Mila }

J'entre dans la salle de piscine, et le vois pile poile sortir de la piscine, mouillé et fier ! Je l'observe prendre sa serviette et il s'avance vers moi . Je prend l'arme à feu que j'ai trouvé juste sur le bain de soleil que j'ai pas si loin . Il stoppe et me fixe intensément. Je pointe l'arme sur lui et le fixe dans les yeux!

— tu vas m'arrêter tes bêtises ! Me dit-il en débutant la conversation en espagnol.

— pourquoi est-ce que tu te comporte comme ça! Tu lui fais du mal !

— que veux-tu? Je t'es appeler dans le but de te prévenir de ne pas essayer d'être plus intelligente que tu l'es !

— c'est à dire ? Je l'aiderai ! Tu ne mérite pas qu'elle soit là! Tu ne mérite pas d'être heureux Liño Cruz ! Tu ne mérite rien !

— .... Si tu as fini , j'aimerai t'informer que tu partira demain matin à Las Vegas avec Marcel pour une courte mission, un aller retour.

— et la laisser seule avec toi ! Jamais !

— Bordel ! Qui est-elle pour toi ! Tu oses me tenir tête ! Tu es malade !

— Oui ! Tu es un être méchant , ingrat et odieux qui ne pense qu'à lui et son stupide égo dis-je en criant

—... il se calme un instant .. puis s'assoit pendant que j'ai toujours l'arme en main . Qu'est-ce qu'elle a de si important pour autant se faire aimer dans ma propre maison ! ..

— Elle est pure et vrai !

— Je m'en fiche ! Je l'es acheter et c'est ainsi !

— .. Au lieux de la faire tellement souffrir, laisse la retourné chez elle . Depuis quand tu es ainsi!

— tu joues le coup du changement? Ne compte pas trop là dessus . Je la laissera jamais partir, c'est claire !

— Tu ne l'aime pas ! Tu lui fais du mal ! Tu la traumatise , elle a peur de toi ! Elle te craint te déteste à la fois, tu la dégoûte si tu veux savoir elle...

— La ferme lucha ! J'ai sursauté en le fixant, il a l'air d'être touché..

— Tu veux juste la faire souffrir! Tu ne vaux pas mieux que ... il s'est levé et m'a saisie le cou avec une telle violence que le cou est partie tout seul . Il me pressait fortement le cou .

— Reprend tes esprits petite sœur et fait ce que je te demande ! Ce qui se passe entre moi et Alina ne te regarde en rien .

— Tue moi dans ce cas ! Parce que tant que je serais en vie , je ferais en sorte qu'elle est une meilleure vie loin d'un homme sans scrupule  comme toi , tu n'est qu'un imbécile , tu devrais mourir là maintenant et je jure que le monde se portera bien sans toi espèce de violeur ! Un violeur comme toi mérite une mort lente et très douloureuse. il me lâcha et je jeta l'arme dans la piscine. Va te faire foutre , hijo de puta ! Dis-je en lui donnant dis,

- une mort comme celle de mon frère ? Dit-il avec colère. Je me retournais et lui lancèrent un sourire d'où respirait la fierté et la satisfaction.

Puis je sors .

Viole-moi ! Où les histoires vivent. Découvrez maintenant