11

10K 367 142
                                    

PDV Sasuke

Il est bientôt 20h et je n'ai toujours pas revu Sakura depuis. Elle est dans sa chambre sûrement à regarder une série. Je sais plus quoi penser... Elle m'attire. On est enfermer ensemble depuis seulement 3 semaines et j'ai pourtant l'impression qu'on c'est tellement rapprocher. J'ai appris à la connaître mais là je suis perdu. Certe c'est moi qui l'ai embrasser en premier mais on a même pas discuter clairement sur ça. Je laisse ma tête tomber en arrière sur le canapé et remarque Sakura habiller qui sort de ça chambre.

- Tu va où ?

- Je sort.

- Comment ça tu sort ? T'oublie qu'on est confiné ?

- Non mais j'étouffe ici.

- Tu sortira demain il est tard.

- Sasuke je suis une grande fille.

- C'est non.

PDV Sakura

Je fus incapable de sortir quoi que ce soit. Cette air si sérieux le rendait incroyablement sexy ! Je me perd de nouveau dans son regard si profond et intense.

- Mais je peux très bien me débrouiller ! rétorquais-je finalement encore un peu dans les nuages en déverrouillant la porte qui mène à la sortie.

- Sakura Haruno ! tonna t-il

Mon prénom complet... Ce n'est pas bon signe. Il m'appelle avec mon prénom complet lorsqu'il est soit énervé soit extrêmement sérieux... Merde ce qu'il peut être sexy quand il me regarde comme ça ! Bon Sakura calmes-toi avant de te jeter sur lui pour lui mordiller sa peau certainement épicée et...PUTAIN ! Reprends-toi Sakura ! Je me décide quand même à faire la sourde oreille et sort de l'appartement. Je l'entend me suivre.

- Je t'accompagne !

- Non je..

- Alors tu ne sort pas ! Je te ramène de grès ou de force !

De force pitié !

- Sasuke je ne suis plus une enfant ! rétorquais-je avec de plus en plus de mal.

- Bon, tu as gagné c'est de force !

Il se m'attrape et me prit sur une de ses larges épaules musclées, je me débattis en lui hurlant de me poser mais il fit la sourde oreille. Au bout de quelques secondes, j'ai laissée tomber et attendit patiemment qu'il me ramène chez moi, en attendant j'essayais vainement de ne pas me laisser aller. Même si j'inspirais les quelques brides de son parfum épicé, auquel j'ai souvent eu l'occasion de remplir mes poumons, et que je sentais tout ce tas de muscles rouler sous sa peau brûlante je gardais mon sang froid... ou tout du moins, le peu qu'il me restais car j'avais extrêmement chaud. Il me posa subitement une fois arrivé chez moi. Je le regarda interloquer et perdu en reprenant mon souffle.

- C'est bon papa je peux au moins aller dans ma chambre ? demandais-je avec ironie en regrettant son épaule chaude sur mon ventre et son bras fort sur mes cuisses.

- Non ! Je veux te parler en fait, déclara t-il.

Une angoisse incommensurable s'empara de moi. Je pria tout les dieux qui étaient en ma connaissance pour ne pas qu'il soit au courant de ma trop grande imagination qui le poussait à faire des choses obscènes dans mon esprit agité.

Confinés Où les histoires vivent. Découvrez maintenant