Confinés

20

PDV Sasuke

Sakura dort encore, elle a vraiment un sommeil d'aplomb il est déjà 9 heures du matin. Je me lève tranquillement pour ne pas la réveiller et vais me préparer. Je sais que c'est un peut debile de garder mes habitudes comme si j'avais cours mais c'est la seul manière de m'occuper un peut. Bref j'enfile un tee shirt noir et un jogging de la même couleur et part dans la cuisine pour préparer un petit déjeuné digne de ce nom à Sakura.

Une fois fini je me dirige vers la chambre de Sakura. Elle dort encore en même temps c'est pas étonnant. Je pose le plateau avec le petit déjeuner sur la table de chevet, me penche sur Sakura et commence à caresser tout doucement son visage pour le faire émerger et lui murmure :

- Debout Sakura, on se réveille.

- Non laisse moi Sasuke. – Dit-elle en s'enfonçant encore plus dans la couette.

Pas décider à ce lever à ce que je vois. Je lui caresse doucement sa hanche nue et lui embrasse le cou.

- C'est dommage, moi qui avait fait un petit déjeuner rien que pour toi. – Susurrais-je en parsemant son cou de baisers.

Elle ouvre tout à coup les yeux le sourire au lèvres et me dit toute excitée.

- Un petit dej ?

- Ouais.

- Où ? Aller donne le moi.

- D'accord mais avant tu dois le mériter

- Le mériter ?

- Oui le mériter.

- Et comment je fais ?

- Tu dois me montrer à quel point tu le veux ce petit déjeuner.

Elle fait mine de réfléchir mais je sais très bien qu'elle sait où je veux en venir. Ses mains disparaissent de mon champs de vision pour atterrir derrière la nuque pour m'attirer à elle. Ses lèvres frôlent les miennes sans jamais les toucher, elles sont si douces. Elle passe une de ses mains dans mes cheveux et tire un peut dessus pour tirer ma tête vers l'arrière, elle se redresse et la voici maintenant a califourchon sur moi. Je la vois hésiter un peut, je met mes mains sur ses hanches et me laisse tomber sur le lit. Elle commence à frotter nos bas ventres ce qui lui arrache un soupir de plaisir. Ses petites mains agrippent mon tee shirt et le fait rejoindre le sol. Ses lèvres se décollent des miennes, la voix haletante elle me dit :

- J'ai envie de toi.