Namira
J'attendais assise sur mon canapé et j'appréhendais sa réaction lorsqu'il me verra après tant de mois sans s'être vus.
Ce n'était qu'une petite dizaines de minutes plus tard qu'il avait toquer à ma porte.
Je me suis lever en ayant la boule au ventre, j'ai regardé à travers le judas et il s'avérait qu'il était bien là juste devant ma porte.
- N'aie pas peur Namira, ouvre cette porte...
J'ai soupirer avant d'ouvrir la porte.
Le voir après tant de mois, m'avait fait augmenter ma fréquence cardiaque. J'avais tellement d'émotions partagés en même tant que je ne savais plus quoi dire.
Il était devenu tellement beau et grand, j'en bavais presque.
- Reprend toi Namira. Me dis-je à moi même.
Yakim - ...
- ...
Nous n'avions même pas besoin de parler à cet instant précis, nos regards se communiquait entre eux.
Il s'est approcher lentement de moi, ma prise le visage avant de me serrer dans ses bras.
C'est étrange, mais je me sentais tellement en sécurité dans ses bras. Et moi qui niais ce fait, il m'avait terriblement manqué.
Yakim - Namira...
- Yakim...
...
Nous étions assis sur le canapé, personne ne parlait. Seulement le bruit de notre respiration se faisait entendre.
Yakim - Pourquoi m'avoir fait attendre tout ces mois dans l'ignorance ?
J'ai souffler avant de versé une larmes.
- J'avais peur...peur que les problèmes ressurgissent dans ta vie. Alors, j'ai préféré prendre du recul et me faire discrète.
Yakim - ...
- ...
Yakim - Namira, avec ou sans problème je t'aime et c'est le principal.
Je rêve ? Venait-il de me dire «Je t'aime» ?
- ...
Je lui ai lancé un regard un peu surpris.
Yakim - Après la dernière fois où on avait déraper, je me suis rendu compte que j'étais tomber amoureux de toi. Namira je crois que je n'ai jamais aimé une femme aussi fort que l'amour que je porte à ton égard.
- ...
Yakim - Je t'aime, et je peux te le dire en toute les langues pour te prouver cela.
Les larmes coulaient sur mes joues, je ressentais plein de papillons dans mon ventre, mes yeux brillant de larmes, mon cœur battait à mille à l'heure, mon corps chauffait et mes mains devenaient presque moite.
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«Est-ce une bonne idée ?»
AcciónNe nous lassons pas de faire le bien; car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas. Galates 6:9