Merveille
Rebecca - Sœurette, toi et moi on doit discuter !
Je lui ai lancé un regard interrogateur. De quoi veut-elle discuter ?
- J'ai fait quelques chose de mal ?
Rebecca - Assied toi et ne pose plus de questions.
Elle avait l'air assez sérieuse. Je commençais à paniqué. Et si seulement elle était au courante pour moi et David ?
- Je t'écoute.
Rebecca - Je me trompe sûrement mais j'ai remarqué quelques trucs qui ne vont plus trop chez toi.
J'ai soupirer.
- Comme quoi exactement ?
Rebecca - Merveille, ces temps-ci je trouve que ton sourire n'est plus trop présent sur ton visage. Tu sembles triste, et tu passes tes journées enfermé. Qu'est-ce qu'il ce passe ?
- Tu te trompes Rebecca, je vais bien ne t'inquiète pas. Et puis je ne suis pas triste, pourquoi ces pensées ?
Rebecca - ...
- ...
Rebecca - Merveille, je ne suis pas née de la dernière pluie. Tu peux mentir à tout le monde mais tu ne peux pas te mentir à toi même. Qu'est-ce qu'il se passe ? Je ne me répéterai pas longtemps.
Je n'ai même pas eu la force et ni le courage de résister que je me suis effondré en larmes sur le torse de ma grande sœur.
J'en avais besoin, j'avais besoin de me lâcher.
Rebecca - Calme toi...
J'étais incapable de m'arrêter moi-même, je devais tout sortir. Et toutes mes émotions je réussissait à les évacuer par mes larmes.
Rebecca - Respire calmement...
Et si je lui disais ? Elle m'en voudrais vous ne pensez pas ?
Mais après tout elle, s'était confié à moi et pour moi je ne ferai pas de même ? Je pense que j'ai besoin de tout vider car je n'arrive pas à tout porter seule.
- Rebecca je suis désolé...
Elle ne comprenait pas, et me regardait avec ses sourcils froncés.
Rebecca - Prend ton temps et ne te presse surtout pas.
J'ai soupirer avant de prendre la parole.
- Il a quelques mois, j'ai rencontré un garçon dans un restaurant où je m'étais rendue avec les filles. Depuis ce jour on est resté en contact et on aimait bien discuter ensemble. Il nous arrivait souvent de vouloir s'embrasser mais il n'y avait jamais eu plus que ça. On a commencé à se parler de plus en plus et le jour où...
J'ai marqué une courte pose.
- Le soir où tu avais essayé de te retirer la vie, je m'étais rendue chez lui pour qu'on puisse passer la soirée ensemble. Au début il y avait quelques bisous et au final...il s'est passé plus que des simples bisous. Et avant qu'on passe à l'acte, j'étais tellement saisie par ce péché que j'ai éteint mon téléphone pour ne pas être déranger.
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«Est-ce une bonne idée ?»
AçãoNe nous lassons pas de faire le bien; car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas. Galates 6:9