Merveille
Elle a levé le regard vers moi.
Orélia - Tu es sur que tout va bien ?
- ...
Orélia - J'ai tout mon temps, si il y a un problème tu peux m'en parler.
J'ai levé les yeux vers elle qui terminait de rincer les dernières assiettes.
- J'ai surpris une amie de la sœur de David avec lui dans son lit.
Elle a ouvert grand les yeux, surprise par la nouvelle qu'elle venait d'apprendre.
Orélia - Ça fait à peine deux mois que vous venez de vous fiancer, il est fou ou quoi lui ?
- Orélia moi-même je ne sais pas quoi en penser.
J'ai frotté ma main sur mon bras gauche.
- J'avais besoin de lui ce jour là, j'avais besoin qu'il puisse me consoler par ce que je venais de vivre, mais à la place, il- il-....
Les larmes menaçaient de couler, je ne voulais pas, non, je ne voulais pas pleurer, mais c'était plus fort que moi, j'avais éclaté en sanglot.
Je ne comprends pas qu'est-ce qui m'arrive.
Orélia - Doucement, arrête de pleurer s'il te plaît...
- Orélia on m'a touché, ils m'ont touché...
Mes larmes se transformaient peu à peu à des suffoquement.
Orélia - Calme-toi...
Elle m'a prise dans ses bras en me carressant le dos.
- Ils m'ont touché partout, il m'ont battu, ils ont voulu me-
Orélia - Ne te force pas à continuer si tu ne te sens pas bien, j'ai compris où tu veux en venir.
- ...
J'ai fini par tout lui raconter, j'avais besoin de me sentir détendue.
Orélia - Qui est-ce qui t'a fait ça ?
- Ils- ils étaient deux, mais- mais je ne les ai pas- pas vus...
Elle a regardé l'heure sur son portable.
Orélia - Arrête de pleurer je t'en supplie, ça me fait mal au cœur, va te reposer à l'étage moi je vais m'occuper des petits.
- Tu es sûr ? Tu peux rentrer, je t'ai assez déranger avec mes histoires.
Orélia - Qu'est-ce que tu dis là ? Tu ne me déranges pas du tout au contraire, j'ai envie de t'aider.
Elle m'a poussé vers le bas des escaliers en me lançant un léger sourire.
Orélia - Prends toi une douche s'il le faut, mais repose-toi, je gère.
- Merci beaucoup Orélia, merci énormément.
Orélia - Tu n'as pas à me remercier c'est normal, au pire j'appellerai Judith.
J'ai hocher la tête positivement, je suis montée me prendre une douche et je me suis allonger sur mon lit, mon téléphone en mains.
- Seigneur aide-moi à surmonter tout ça...
J'ai par la suite reçue un message.
«David - J'arrive chez toi dans deux minutes.»
J'ai froncé les sourcils.
«- Ça ne sert à rien de venir.
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«Est-ce une bonne idée ?»
AçãoNe nous lassons pas de faire le bien; car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas. Galates 6:9