Who you are. [5sos]

BONUS : " You'll never find a men like me."

        N'ayant pas la foi de finir d'écrire le chapitre suivant, et me sentant légèrement coupable d'être en retard, je me suis dis que je pourrais vous offrir une surprise. De plus je viens d'atteindre les 1K et ça me fais énormément plaisir, alors c'est aussi une manière de vous remercier.

        J'ai écris pas mal de "scènes" qui ne sont pas censées apparaître dans la fiction, puisque nous sommes du point de vue de Romane. Il y en a peut-être une centaine, parce que généralement, je les écris en philo, et qu'en L, ça me donne tout un tas de temps à tuer. 

        La plupart du temps, c'est pour m'aider à gérer les caractères de mes idiots de personnages, m'aider à comprendre l'action pour pouvoir la décrire plus simplement, ou encore, je l'avoue, juste pour le plaisir d'en écrire.

        Je vous en ai laissé certains : je ne sais pas si c'est un "vrai" cadeau en fin de compte. Ils seront séparés en deux catégories : avant que Romane et Calum ne débarquent dans cette université de fous, et pendant. (je préciserais toujours au début un peu le contexte pour que vous ne soyez pas trop perdu.) 
        P.S je suis désolée, généralement, ce ne sont que des dialogues.

        Je n'ai pas trop le courage de les corriger. Je le ferais bientôt !

AVANT. 

1. Romane et Calum. La vrai rencontre.
_ Pour la jeune femme, la première fois qu'elle a rencontré le basané était à la cafétéria, quand elle est venue le défendre de trois types idiots. Mais ils se sont rencontrés bien avant, sauf qu'elle était trop îvre ce soir là pour pouvoir s'en rappeler. Calum s'en souvient. Ils étaient devant un bar branché, et elle était simplement venu lui demander du feu, tandis qu'il était simplement sorti prendre l'air.

- Tu aurais du feu ? 

- Et le s'il te plaît ? s'amusa le basané. 

- Je suis contre.

- Pourquoi ça ? 

- Et bien... grogna-t-elle. Admettons que je sois polie cinq minutes et que je te demande si cela te plait de me donner du feu, tu te sentiras obligé d'être poli en retour parce que l'humanité est absurde. Et si ça ne te plait pas de me prêter un briquet, et bien tu le feras quand même parce que c'est socialement plus acceptable. Sauf que moi j'en ai rien à foutre que tu sois poli, je veux juste fumer, et je perd mon temps à t'expliquer que tu es en train de perdre ta liberté en me demandant d'être polie ! 

        Calum fronça les sourcils.

- Hein ?

- En étant tout sauf politiquement acceptable, je t'accorde la possibilité de faire ce que tu veux en me passant oui ou non un feu, alors pendant que je suis gentille, soit un minimum intelligent bordel ! 

        La jeune femme tanguait dangereusement, tandis que le basané semblait intrigué. Jamais il n'avait alors rencontré de pareil spécimen. 

- Bon, tu as du feu ou non bordel ? 

- Non. 

- Et bien voilà, c'était pas si difficile. Je ne te remercie pas de m'avoir fais perdre cinq minutes de ma précieuse vie.

        Sur ce, elle s'éloigna demander à un autre garçon du feu, tandis que Calum resta planté là, essayant de comprendre ce qui venait de lui arriver. 

        Lorsqu'il croisa à nouveau la jeune femme, ce fut dans un des couloirs de l'université. Il a bien essayé de venir l'aborder pour tenter de continuer la discussion qu'elle avait violemment interrompu, mais son meilleur ami Joe l'en empêcha.