Ce matin.
Même rituel.
Réveillé depuis déjà un bon moment, je suis rester fourré dans mon lit a traîner sur mon téléphone, en ignorant les bleu tracer sur mon corps par les coup, que j'appuie sur le matelas.
Je lâche mon téléphone et frictionne mes yeux, avant de m'étirer et de bâiller lourdement.
Je me lève ensuite, attrape des vêtements au passage, et me rue dans la salle de bain.
Je me douche, me savonne en frottant de partout, avec cette impression de saleté sur mon corps, et je rince avant d'enfiler un jean gris clair taille haute auquel je fais des ourlet, j'ajoute une ceinture noir, et termine par un sweat à capuche bordeaux.
Simple, rapide, et efficace.
Je me parfume, attache mes cheveux en deux tresses collé, et je place la capuche de mon sweat sur ma tête.
Je récupère mon pyjama, et je sors en chaussette de la pièce.
Héléna : bonjour !
Comment elle peut être chaleureuse après mes coups qu'elle ne se gêne pas de me mettre ?
Sadique.
Moi : bonjour
J'ai prononcé ce mot à voix basse, suivi d'un long souffle. Elle me regarde avec des yeux de tueurs.
Putain.
J'entre dans la chambre, plis mes habits et les poses sur mon lit. Je prends mon téléphone, enfile mes baskets, et je sort de ma pièce.
Matthew : tu va où ?
Le bonjour est en option apparemment.
Moi : traîner dans le quartier
Son regard se durcit.
Matthew : ta ton téléphone ?
Moi : oui
Matthew : j'te préviens, si j't'apelle et tu répond pas, je ferais en sorte de te le faire regretter, c'est clair ?
Ses paroles ne me font rien. J'y suis trop habitué pour réagir, et mes yeux, vide, ne traduise aucune lueur d'émotions.
A croire que je suis sans cœur.
A croire qu'il est absent chez moi.
Je ne lui répond pas, et me contente seulement de sortir.
Loin de lui.
Loin d'elle.
Je monte dans l'ascenseur qui me dépose au rez de chaussée, ce qui me fait sortir du bâtiment.
Je regarde les allentour, et décide de marcher dans la direction du square que j'ai remarqué hier, dans l'espoir de peut être trouver un stade pas très loin.
Je tombe sur un jeu pour enfants avec toboggan, tunnel et petit trampoline.
Les enfants court, s'amuse, ris ou cris.
Cela m'arrache un sourire suivis d'un léger rire.
J'espère qu'il profite bien de leurs moment en tant que bébé personnes, car une fois devenu une grande personne, sa ne sera pas le même univers.
Je croise une bande de garçon. L'un d'entre eux détiens un ballon de football. Ils vont peu être a un stade ?
Je décide de les suivres discrètement, en restant à une distance éloignés d'eux et en prenant les petit chemin qui diffère de la route initial mais qui finit par les mener jusqu'à un stade, ou le groupe s'arrête.
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RK//Secret//RK
FanfictionUne vie. Sa ? Sa n'en ai guerre une. Et pourtant, c'est bien celle que je mène...