Chapitre 28

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13h03~

Maison de Haneul~

Le trajet du retour c'est très bien passer. La séparation avec les garçons était assez triste car j'ai passé deux semaines merveilleuses avec eux, je me suis vraiment attaché à eux. Je suis devant la porte de chez moi, je n'arrive pas y entrer car les deux semaines de bonheur que j'ai passé vont s'arrête quand je vais franchir le pas de la porte. Je me décide enfin à ouvrir la porte, à ma grande surprise la maison n'est pas silencieuse. La peur me prend instantanément, je monte le plus rapidement dans ma chambre en essayent le moindre bruit possible. Je ferme la porte précipitamment, je reconnais les pas lourds de mon paternel. Ma porte s'ouvre violemment sur comme je l'ai vais entendu mon père, il me prend mes cheveux et il balance par terre. Ma tête cogne si fort contre le sol que je sens le sang coulé le long de ma nuque. Mon père se positionne au-dessus de moi.

-Je sais que pendant les vacances tu n'es pas à la maison. dit-il en me mettant un coup de poing dans le ventre

-Tu a passé deux semaines avec sept garçons, tu es qu'une salope. Il me remet un coup

-Je t'es fait suivre. encore un coup

Il me tire ensuite par le pied, il me traine dans le couloir et il m'emmène dans la salle de bain. Il me plonge la tête dans les toilettes un nombre incalculable de fois.

-Arrête, s'il te plaît. suppliais-je mon père

-Tu veux que j'arrête, te voir me supplier me donne encore plus envie de continuer. dit-il sadiquement

Il continue encore et encore. Ensuite il me traine par les cheveux jusqu'au sous-sol et il m'attache sur une chaise en bois, puis il part en le lancent un regard qui je veux dire tu vas encore beaucoup souffrir. La porte se referme, la pièce me plonge dans un silence profond. Ma tête me fait un mal de chien. Je ne sens plus le sang coulé ce qui est une bonne nouvelle je suppose. Il faut absolument que je reste éveillé car je ne sais pas ce que pourrais faire mes parents pendant que je suis inconsciente. J'analyse la pièce pour trouver une solution de m'enfuir mais rien n'affaire la pièce est vide. En plus la luminosité est faible donc je ne peux pas bien voir le sous-sol.

Après plusieurs heures enfin j'estime que sa fait plusieurs heures, la porte s'ouvre sur mes géniteurs. Mon père s'approche de moi avec un sourire malsain collé au visage, il tend sa main vers la mienne et il prend mon auriculaire le tords jusqu'à ce que j'entende un craquement. Un cri de douleur atroce franchie mes lèvres. Il fait de même avec mon annulaire. Ensuite ma génitrice arrive auprès de moi et sort un couteau de derrière elle.

-Vous ne pensez pas que vous m'avais déjà assez de mal comme ça. commence-je à dire énervais

-Tous ce qu'on te fait, tu le mérite grandement. dis ma mère

-Pourquoi, pourquoi je mérite tout ça. Qu'est-ce que j'ai fait ? demandais-je tout aussi en colère

-Tu es née. dis ma mère franchement

Je reste bouche bée par c'est dire, je ne sais même plus quoi lui répondre.

-Et la meilleure des nouvelles c'est que tu n'es pas fille. ajoute mon géniteur

J'assimile l'information mais aucune réaction sort. Savoir qu'on m'a menti toute ma vie sur qui est mon père me répugne. Comment tu peux cacher quelque chose d'aussi important a quelqu'un et en plus l'apprendre de cette façon c'est vraiment ignoble.

BattueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant