Chap 20 : Minas Tirith

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Je suis désolée que la semaine dernière il n'y a pas eu de chapitre, en ce moment je révise beaucoup. Bonne lecture ♥ 

Pippin hocha la tête en validation. Alors ils entrèrent dans la salle du trône. Pippin était surpris par la grandeur de la pièce et sa beauté. Il y avait simplement deux soldats qui étaient derrière la porte et au centre de la salle Denethor recroquevillé sur lui même, sur le trône noir de l'intendant qui était placé à côté de celui du roi mais qui lui était blanc et en hauteur. Personne ne parla donc le magicien pris la parole.

- Salut à vous, Denethor, fils d'Ecthelion, seigneur et intendant du Gondor. Je suis venu vous apporter conseil et nouvelle en cette ère sombre.

Alors Denethor pris la parole et montra à Gandalf ce qu'il tenait dans sa main : la corne fendu de Boromir.

- Peut-être êtes vous venu m'expliquer ceci. Peut-être êtes vous venu m'expliquer pourquoi mon fils est décédé.

Soudainement et sous le poids de la culpabilité Pippin pris la parole sous le regard méduser de Gandalf.

- Boromir est mort pour nous sauvé mon cousin et moi. Il nous a défendu devant mainte ennemis. J-je vous offre mes services si humble soit-il. En payement de cette dette.

- Voici mon première ordre en votre encontre. Dite moi comment vous êtes échappés et que mon fils ne l'a pas pu, tout puissant qu'il était.

- Le plus puissant homme peut être tuer d'une seule flèche, mais Boromir fut percer de nombreux traits.

- Relevez-vous ! Interrompis Gandalf, pour mettre fin à cette scène. Monseigneur, vous pourrez prendre le temps de pleurer Boromir mais pas tout de suite. La guerre est imminente et l'ennemi est déjà à vos portes. En tant qu'intendant vous avez la charge de défendre cette cité où sont les armées du Gondor ? Vous avez encore des amis, vous n'êtes pas seul dans cette bataille. Envoyer un message à Théoden du Rohan, allumer les feux d'alarme.

- Vous vous croyez sage, Mithrandir, malgré toute vos subtilités vous n'avez pas de sagesse. Croyez-vous que les yeux de la tour blanche sont aveugles ? J'en ai vu plus que vous savez. Avec votre main gauche vous voulez m'utiliser comme bouclier contre le Mordor et avec votre main droite vous cherchez à m'évincer. Je sais qui chevauche à côté de Théoden du Rohan, oh oui mes oreilles on eu vent de cette "Aragorn" fils d'Arathorn et je vous le dit sans détour je ne m'inclinerai PAS devant ce rôdeur du nord, dernier d'une lignée en rayon depuis longtemps privé de sa seigneurie.

- Vous n'avez en aucun cas le pouvoir de refuser le retour du roi, intendant.

- Les rênes du Gondor sont à moi et à personne d'autre ! 

- Venez, dit le magicien à Pippin en sortant. Tout et devenu veine à ambition ici, il se cache même derrière son chagrin ! Cette cité à tenu mille an mais aujourd'hui à cause d'une lubie d'un fou elle va tomber. L'arbre blanc, l'arbre du roi ne refleurira jamais.

- Pourquoi le garde t-il ? Demanda le hobbit.

- Ils le gardent car ils espèrent. Ils ont le pâle espoir qu'il refleurira un jour, qu'un roi viendra et que cette cité sera comme elle était avant de tomber en ruine. Ancienne sagesse de l'ouest à été abandonner. Les rois ont construit des tombes plus belles que les maisons des vivants et chérit le nom de leurs ancêtres plus que celui de leurs fils. Les seigneurs sans descendance sont assis dans de vieille salle méditant sur leur blason ou de haute et étroite tour interrogeant les astres. Ainsi le peuple du Gondor couru à la ruine. La lignée royal échoua. L'arbre blanc se dessécha. Les rênes du Gondor furent confier à de simple mortel.

Pippin observa l'horizon au on pouvais y voir le Mordor qui se situai au porte du Gondor. 

- Le Mordor....

- Oui, c'est là qu'il s'étend. Cette cité à toujours été à porter de son ombre.

- Une tempête approche.

- C'est loin d'être un phénomène naturel. C'est un artifice mis en place par Sauron, une tourmente de fumée qu'il envoie avant son armée. Les orques du Mordor n'aime pas la lumière du jour, il couvre la lumière du soleil pour faciliter leurs marchent vers la guerre. Lorsque l'ombre du Mordor attendra cette cité cela commencera.

- Oui...Minas Tirith. Très impressionnant ! Où irons-nous après ? 

- Voyons il est trop tard pour partir. Les secours devrons venir à nous.

Le soir venu, Gandalf regarda encore en direction du Mordor en fumant tandis que Pippin découvrir son armure et son épée en tant que garde de la citadelle.

- J'imagine qu'il s'agît d'un titre honorifique. Ils ne s'attendent pas à ce que je me batte, si ?

- Vous êtes dorénavant au service de l'intendant dorénavant, vous devez faire ce qu'il vous ordonne.

Pippin alla rejoindre Gandalf près de la fenêtre.

- Il n'y a plus d'étoile. L'heure est venu ?

- Oui.

- C'est si tranquille.

- C'est ce que l'on appelle le calme avant la tempête.

- Je ne veux pas aller me battre. Mais être dans l'attente d'une bataille à laquelle on ne peut échapper est encore pire. Il y a de l'espoir Gandalf, pour Frodon et Sam ?

- Il n'y a gère d'espoir, il y a un espoir de fou. Notre ennemi est prêt toute ses forces sont rassemblés, pas seulement des orques mais aussi des hommes venu du sud, des mercenaires venu de la côte. Ils répondront tous à l'appelle du Mordor. Ce sera la fin du monde tels que nous le connaissons. Le coup le plus dur sera porté ici. Si le port est pris, si la garnison d'Osgiliath tombe, la dernière défense de cette cité aura disparu.

- Mais nous avons le magicien blanc, ça ne signifie pas rien. Gandalf ?

- Sauron ne nous a pas encore présenter son serviteur le plus redoutable. Celui qui emmènera les armées du Mordor à la guerre. Celui dont on dit que aucun homme vivant ne peut le tuer. Le roi sorcier d'Angmar. Vous l'avez déjà rencontré. Il a poignardé Frodon au mont venteux. Et Minas Morgul est son repère.

À suivre ^^Pour une fois pas d'Elerinna, elle reviendra au chapitre suivant.

Le seigneur des anneaux ( Avec une fille dans la communauté )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant