Quand elle se réveille dans un lit inconnu, T/p ne se rappelle de rien sauf de son prénom. Enfermée dans une pièce et couchée sur un lit à grand baldaquin blanc, le monde se dérobe sous ses pieds au fur et à mesure qu'elle se rend compte que ses sou...
Je n'ai aucune idée de l'heure qu'il est mais le soleil est déjà bien plus haut dans le ciel que quand je me suis réveillée. Si je crois les deux inconnu, je suis là depuis au moins deux jours. Soit j'ai dormi soit j'ai aussi oublié ses deux jours ce qui est un problème vu que je ne connais personne. Mais alors que je m'apprête a abaisser la poignée, une immense douleur m'envahi. Un pic glacial rentre dans mon ventre et dégage toutes les bonnes pensées qui pouvais s'y êtres glisser. Mes bras sont parcouru de frissons et je commence a sentir un mal de tête pointer le bout de son nez. C'est comme si j'étais tirailler par un million d'aiguille en même temps et que chaque fois que je prend l'air dont mes poumons on besoin pour survivre, une centaine d'autre rejoigne la compagnie.
Je clanche la poignée tout en tenant mon ventre. Celle-ci s'ouvre et je manque de tomber en avant alors que je me rattrape comme je peut avec le petit meuble face a moi que je trouve dans un long couloir. Je ne prend même pas le temps de regarder ce qui m'entoure que je file déjà vers un escalier. Je titube tout du long alors que les aiguille semble se transformer en massues. En arrivant tant bien que mal en bas je découvre une grande entré. Plonger dans une pénombre lumineuse, je me dirige vers les débris de voix que je perçoit. J'arrive finalement dans une grande salle à manger. A peine sorti de la sombre luminosité, je me retrouve dans une pièce baigné dans la lumière. Une grande fenêtre éclaire la pièce couleur blanc et or tandis que quatre homme sont attablés devant une large table massive et fructueuse de nourriture. Mais alors que je commence a ressentir le léger picotement sur mon bras, tout les regard se tourne vers moi.
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T/p: Je suis une patiente non, c'est ce que vous m'avez dit, alors guérissez moi.
Ma tête tourne alors que aucun d'eux ne bouge d'un seul centimètre. Je reconnais alors les deux homme de tout à l'heure. Celui aux yeux ambré, en bout de table, debout et visiblement entrain de parler avec l'homme étrange, me fixe une nouvelle fois et mon bras commence à me tirer de plus en plus. Il lâche son amis sur lequel il avait poser la main sur son épaule et avance vers moi. En plus des deux hommes, deux autres sont dans la pièce avec nous. L'un et assis bien plus près de moi et m'observe tout en jouant avec ce qui me semble être un couteau. Tandis que le dernier n'est pas a table, il est bien plus reclus, adosser au mur, derrière celui que je ne doit pas toucher. Son regard me perce en un trou net et sans aucune douceur. Je me sens dévisagée et un sentiment bien plus horrible que l'oublie me prend au cœur. L'incompréhension.
Doc Sunghoon: Ma magie à cessé de faire effet, je l'ai senti il y a déjà quelques minute de ça. Tu es descendu et c'était la meilleure chose à faire. Prend ma main.
Il passe un bras autour de mes hanches et attrape ma main. Ses doigts chaud et doux se glisse doucement et tendrement entre les miens. Le sentiment de plus tôt revient à la charge alors que je sens qu'il se tend contre moi. Sa bouche se tord encore en un arc de cercle discret, d'inconfort et de pitié. Je vois alors tout comme la première fois, une longue traîné de lumière s'infiltrer sous ma peau, longer tout mon avant bras et finir en de joli arabesques souples et fines. Malgré le confort que ça m'apporte, la douleur, elle, est toujours bel et bien là.
Sunghoon: C'est tout ce que je peux faire.
Comme si il avait lu mes pensées, il relâche tristement ma main et la chaleur disparaît légèrement.
Sunghoon: Je ne peux pas toucher à la douleur. Je peut entrer en toi et changer tes émotions, te rassurer, te calmer, t'accompagner dans le ressenti, mais la douleur, ce n'est pas une parti du mental que je peux changer.
Changer mes émotions. M'accompagner. Plus les mots sortent de sa bouche plus mon impression sur eux ce confirme. Ils ne sont pas humain. Ou dû moins, pas simplement humain. Mais alors à chaque fois qu'il me touchais, il ressentait tout. Mes angoisses, la peur, l'incompréhension, la solitude. Mon ventre tiraille toujours autant mes entrailles alors que mes sentiments interrieur sont complètement bouleversé. J'ai mal en me sentant calme. J'ai envie de vomir alors que je me sens reposé et comprise.
Sunghoon me relâche complètement et se tourne vers les autres qui n'ont pas bouger d'un pouce et observent toujours la scène. Il fixe l'étrange garçon de toute à l'heure et comme si sont regard voulait tout dire, l'autre serre immédiatement les poings.
Sunghoon : Tu sais que tu es le seul à pouvoir l'aider.
???? : Je ne la connais pas, je ne sais même pas son nom. Pourquoi j'aiderai quelqu'un qui m'est complètement égale.
Sunghoon : Heeseung !
Je sursautais en entendant la voix de Sunghoon qui jusqu'ici n'avait été que douceur et calme. Personne n'avait bouger et le fameux Heeseung encore moins. Il avait simplement levé un sourcil au ciel comme pour montrer qui dominait la situation. Mais il fût bien vite redescendu quand l'homme du fond de la pièce sorti une simple phrase.
???? : Je crois que l'on ta demander quelque chose.
Un silence de mort tomba sur la pièce et je senti juste Sunghoon souffler discrètement derrière moi. Je ne savais pas qui était l'homme qui me fixait toujours du fond de la salle à manger mais il était apparemment le plus respecter ici vu comment Heeseung ne répliqua pas et se leva simplement en venant vers moi. Il attrapa la mains de Sunghoon qui grimaca et posa leurs deux mains sur mon ventre. À aucun moment je n'entrait en contacte avec le rebelle. Mais à l'instant même ou ils posèrent leurs mains sur moi je me senti parti en arrière. Sunghoon me rattrapa de justesse alors que tout mon visage étais crispé. Un cri sorti du fond de ma gorge alors que face à moi les deux étais dans un tout autre état. Sunghoon avait une mine encore plus affreuse que lorsqu'il me touchais. Blanc comme un linge, il semblait ressentir mes émotions fois dix. Ses yeux doré fixé sur moi ne transmettaient pas la joie. Mais le plus impressionnant n'était pas le soit disant docteur, mais bien le deuxième corps.
Heeseung devait être dans un état pire que le mien. Cela dit il ne laissa rien sortir. De la base de sa mains jusqu'à la moitié de son poignet, ses veines se remplissaient d'un épais liquide noir qui pulsait contre les parois transparente de celle-ci. Et le tout finissait par disparaître plus profondément encore dans son bras. Sur son visage aussi, de longue veines noir pulsaient et aspiraient les coulés noirs. Ses yeux avaient une légère teinte noir nacré. Il respirait durement et à petite dose alors que je senti le mal lentement s'enfuir de moi. Aspirer, goulûment avalé par Heeseung.
Quand il relâcha la mains de Sunghoon, tout disparu d'un coup. La douleur, les plaintes, les cris, les souffles.
Heeseung manquait à reprendre son souffle alors qu'il essuya sa bouche qui avait coulé. Il lança un regard noir à Sunghoon et nous regarda tout les deux.
Heeseung : Je n'ai pas fait un contact direct alors dit toi que ce n'étais rien comparé à ce que j'endure à chaque fois. Ne me demande plus jamais de le faire contre mon grès.
Et il quitta la cuisine toujours en soupirant de fatigue, épuisé et remplit de sueur.
Sunghoon avait tout senti. De la point de ses orteils à la pupille de ses yeux, il avait senti la douleur de Heeseung, la honte du regard des autres face à sa réaction, les brûlures incessantes du mal qu'il absorbait à la jeune femme, le dégout de sois-même, mais surtout et la jeune femme aussi l'avais ressenti jusqu'au plus profond de son être. L'immense tristesse qu'il avait laisser sortir.
