nouveau planning chapitres : mercredi-samedi-dimanche 20h :)
𝐔𝐍 𝐏𝐄𝐔 𝐃'𝐀𝐌𝐎𝐔𝐑 = 𝐉𝐚𝐝𝐞 𝐌𝐨𝐧𝐭𝐢-𝐂𝐚𝐫𝐥𝐢𝐧𝐨
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Les bras encerclés autour du corps de Marcus, je soupirais d'aise en me réveillant doucement. J'avais préféré rester avec lui sa première nuit à Paris puisque depuis petit, il lui arrivait de faire des sortes de crises ou de cauchemars quand il dormait dans un nouvel endroit inconnu.
En rentrant hier à la maison, j'avais directement appelé ma mère pour lui dire que j'avais réceptionné le paquet et n'avais pas perdu une minute de mon temps pour faire sortir mon frère dans les rues parisiennes. Il faisait beau, j'en avais profité.
Et puis la capitale avait l'air de lui plaire pour le moment, on avait juste eu le temps de marcher un peu dans les parcs vu que le vol l'avait tué.
Ça me faisait du bien de l'avoir à mes côtés, ça me rappelait ma famille et et c'était plutôt agréable.
Marcus - Jade ? grognait-il dans son coussin alors que je prenais appui sur mon coude pour le regarder.
- Salut toi. Bien dormi ?il hochait de la tête avant de se tourner vers moi.Ça a dû te faire du bien de te reposer un peu. souriais-je en caressant ses tempes.
Marcus - Ouais. Mais maintenant j'ai faim.
- Sale goinfre va. T'as de la chance, j'ai fait les courses et j'ai acheté tout ce que maman m'avait dit que tu aimais. Alors on a ton lait avec de la poudre de cacao et aussi du pain à toaster avec de la confiture d'abricots. Satisfait ?
Marcus - Mais oui ! il commençait à se débarrasser de mes bras et je le retenais au dernier moment.Quoi ?
- Et mon câlin du matin ? Tu l'as oublié ?
Marcus - On faisait ça quand on était petits.
- Ah non rectification,je levais mon index,on faisait ça jusqu'à ce que je démange à Paris. Donc on continue la tradition sinon je ne te dis pas où j'ai rangé les spéculoos.
Marcus - T'es cruelle Jade.
- Toujours mon chou.
Il râlait avait de plonger dans mes bras et je les resserrais autour de son corps pour l'embêter. Même si Marcus avait presque seize ans, ça restait encore mon petit frère que je devais protéger constamment.
- Dis-moi toi.
Marcus - Hmhm ?
- T'as toujours pas de copine ? Avec ta belle gueule d'italien, ça m'étonne. Y a plein de parisiennes hier qui essayaient de te draguer avec leurs yeux mais tu les as jamais calculées.
