Satoru Gojo X Oc.

Décision crucial 2

PDV Satoru

Je suis finalement rentré et les blessés, c'étaient réveiller et ils nous avaient raconté ce qu'il s'était passé, en détail.

Le vieux se tourna vers moi.

- Alors ? Toujours inoffensif ton gosse ? Ce n'est rien de plus qu'un monstre meurtrier.

Il afficha une mine de dépit et sortit de la pièce dans laquelle je me trouvais avec Mika qui se trouvais aliter. J'ai soupiré.

Je sentis soudain une main tirer ma manche.

- Gojo sensei... Yoshinobu..."le vieux" n'as pas le droit de dire ça.

- Qu'est-ce que tu veux dire.

- Ce n'est pas un meurtrier. S'il n'avait pas arrêté les saignements, je serais mort.

- S'il n'était pas venu, il n'aurait pas eu à te sauver.

- Oui, mais c'est lui qui vous à prévenu, il m'a prit ma fusée de détresse. Il ne voulait pas que l'on meure.

- Quel genre de message tu veux me faire passer au juste ?

- Je ne sais pas vraiment, je réfléchis juste...

- ...?

- Il était mal en point quand je me suis évanoui. Il a fait tout ça pour récupérer une relique qui fait fonctionner ses pouvoirs, mais...j'aimerais bien savoir ce qu'il veut vraiment.

J'ai rigolé doucement.

- Tu es devenu fan ?

- Ce n'est pas ça ! dit-il en rougissant, c'est juste que je veux vous faire comprendre de ne pas lui en vouloir trop tant que vous ne savez pas pourquoi il à fait ça...

- Je ne suis pas en ...

- Ne mentez pas, vous vous mettez en colère dès que l'on touche à un seul cheveux de l'un de vos élèves.

- Mais...!

- Vous n'étiez pas là, mais moi, j'ai vu, j'étais collé contre son corps, je sentais sa respiration irrégulière, sa peau moite, ses mains qui tremblaient...je ne sais pas pourquoi, je n'arrive pas à m'enlever ses sensations de la tête. J'y pense encore et encore, en boucle.

Il se tut.

- C'était tout ce que je voulais vous dire.



PDV Reo

Mon corps me faisait mal, mais sous mon dos se trouvait quelque chose de moelleux, d'agréable. En me redressant sur mon lit, la douleur envahit mon corps, et elle avait pour base mon ventre. Je finis par réussir à m'asseoir sur le lit et, en regardant un peu autour de moi, je me rendis compte immédiatement dans la situation dans laquelle je me trouvais.

Des bruits de pas se firent entendre, la porte s'ouvris sur une magnifique jeune femme aux cheveux d'un noir encre et aux yeux de la même couleur.

- Comment tu te sens ?

Mon sang était glacé, ma mâchoire crispée.

- Bien...mère.